→ Ordinary day. | Young Min ♥

La psychologie était un domaine d'étude passionnant, non, vraiment. C'était également la filière de Kyung-Hee la plus.. calme. A vrai dire, l'université était très reconnue par rapport à son taux d'excellence dans le domaine de la médecine, mais, on oubliait très souvent ses sous-groupes, à savoir donc, la psychologie, faisant elle-aussi partie, en quelque sorte, de la médecine; d'ailleurs les bâtiments étaient très proches - à la différence que chaque matins, on pouvait observer des dizaines et des dizaines d'étudiants partant pour le bâtiment scientifique, les laboratoires, tout ça.. Et il restait le petit groupe dont faisait partie Jun Hae, qui se rendait, la majeur partie du temps, soit dans une sale vide tout ce qu'il y a de plus calme, soit dans l'amphithéâtre. Combien étaient-ils ? vingt, peut-être, aujourd'hui. Ils étaient plus, à vrai dire, mais les heures de cours étaient réparties de façon différentes selon les élèves, les années, les dortoirs, les confréries, le niveau général.. Tout était organisé impeccablement, et ça ne déplaisait en rien au jeune homme. Aujourd'hui était un jour comme les autres pour Jun Hae, il s'était levé, à six heures précises comme toujours, et avait eu la bonne surprise de voir que Mi Hwan dormait encore, et n'avait cette fois pas disparu on ne sait où. - au moins, Jun irait en cours sans se préoccuper de l'autre, aujourd'hui du moins. Il s'était habillé le plus silencieusement possible, avant d'attraper ses livres, pourtant bien inutiles vu le peu de fois ou il les utilisait, pour les ranger dans son sac, avant de quitter la pièce, tout en faisant le moins de bruit qu'il pouvait pour refermer la porte bien capricieuse.

Et ou allait-il, à votre avis ? Non sans rire, s'il avait choisi ce domaine d'étude, c'était parce qu'il était intéressé, parce qu'il était talentueux, parce que tout le monde se demandait bien pourquoi et comment monsieur le glaçon ambulant pouvait être doué pour comprendre les sentiments des autres et que ça l'amusait de voir ça.. mais surtout, surtout pour le peu de diversification du sujet, en fait. Psychologie, encore et toujours. Y avait-il un autre mot dans le langage des étudiants ? Non ! Bien sur que non. Mais s'il y avait de la diversification quelque part, en revanche, c'était bien par rapport aux élèves présents. La première fois qu'il était entré dans la classe, au début d'année, en tant que chef d'eodum, il avait eu deux surprises, la première, c'est qu'il y avait un sacré surnombre féminin dans la classe, ce qui ne le mettait pas du tout à l'aise. La deuxième, c'est qu'il ne pouvait mettre un nom que sur quelques-un d'entre eux, tant certains étaient non pas impopulaires mais.. invisibles. Des jayu, des gwangseong, des yeowang, des yumyeong.. de tout, de tout. Mais malheureusement pour lui, Jun Hae n'était pas n'importe quoi, et par extension, on lui avait longtemps jeté des regards curieux, et encore à présent, les regards se tournaient irrémédiablement dans sa direction lorsqu'il arrivait devant la salle. Ou lorsqu'il entrait les jours ou il n'arrivait pas - trop - en avance, rares jours. Aujourd'hui il avait été en avance. Il était entré dans la salle comme d'habitude, et s'était assis à une place libre du fond. Pourquoi le fond ? Parce que les premiers rangs étaient pris, déjà, mais aussi parce qu'il n'avait nullement besoin d'écouter particulièrement attentivement, il pouvait se le permettre de par ses notes.

Mais ses yeux s'étaient très vite attardés sur les cheveux châtain clairs juste devant lui - c'était une jeune femme, qu'il ne connaissait pas parce qu'il ne lui avait jamais parlé, qu'il observait pourtant en quasi-permanence dés qu'elle était proche de lui. Pourquoi ? Bonne question. Elle était jolie, ça, c'était indéniable. Elle était douée, aussi, elle semblait avoir des bons résultats, elle aussi, et elle était toujours souriante. Voila, à peu près tout ce qu'il savait d'elle, en plus de son nom, parce qu'il connaissait le nom de tout le monde. Même des Jayu. Parce qu'elle y était, il le savait aussi. Et elle ne semblait pas plus expansive que les autres, d'ailleurs.. Il osa un regard vers l'horloge, pour se rendre compte qu'encore une fois, il avait passer bientôt quarante minutes à rêvasser. Bientôt, ils auraient une pause, tant mieux. - Avec un peu de chance, la jeune femme se retournerait, aujourd'hui.

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Les enfants, c’est mignon. Pendant deux ou trois heures. Mais quand votre chère grande sœur, qui a eus des enfants trop tôt, vous supplie de garder ses jumeaux pour la soirée, c’est tout de suite moins mignon.
Alors vous, vous endossez une fois de plus votre rôle de « la-fille-trop-gentille -qui- ne-sait-pas-dire-non-et-dont-tout-le-monde-profite » et vous dites oui, sans ronchonner et avec un grand sourire, en plus. Puis, quand votre sœur vous a laissé ses bouts de chou et c’est empressée de filer faire la fête, vous échangez un long regard avec ceux-ci qui n’ont pas bien compris ce qui leur arrivait et qui sont bien silencieux, et vous explosez en lamentations, passant par tous les registres. De la plainte à Dieu, jusqu’au insultes destinées à votre sœur et à vous-même.

Au début, je me suis dit que ça irait, qu’ils étaient calmes. Et puis, à un moment, alors qu’on était installés devant la télévision, Jun Soon m’a demandé mon âge, je lui ai répondu. Il a prit un petit air craquant et m’a dit d’un air intrigué si j’étais « une grande fille », alors. Je lui ai répondu, toute fière que, oui, j’en étais une. Et là, Hyun Woo s’est retourné vers moi et m’a lancé :

« Alors pourquoi t’as pas de fiancé ? ».

Heureusement pour lui qu’il est si mignon, je l’aurais démoli.
Au lieu de ça, j’ai rougi et j’ai dit qu’il était l’heure de dormir.
Je pensais être débarrassée, mais non, ils ont commencé à se disputer entre eux, c’était insupportable. Résultat des courses ; je me suis endormie à cinq heures du matin sur le canapé de ma sœur. Elle m’a réveillée juste à temps pour que je puisse courir à Kyunghee et arriver en avance à mon cours de Psychologie.

Je suis arrivée une heure en avance, mais j’aimais bien avoir un peu de temps pour me reposer le cerveau avant d’attaquer un cours aussi spécial que la Psychologie. Pendant que je m’installais, je réalisais que, dans ma précipitation inutile, j’avais oubliées mes affaires. Alors que je fulminais intérieurement, en apparence calme sur ma chaise, mon cerveau sadique me montrait encore et encore l’image que ma mémoire avait emmagasinée : ma petite pile de livre stratégiquement placée près de la porte. Raté.
Abrutie, tête-en-l’air, sans cerveau, autiste, l’Alzheimer te guette ma vieille. Je faisais mon petit monologue d’insultes, qui résonnait dans mon crâne.
J’avais le prof dans ma poche, mais je serais quand même bien embêtée sans mes affaires. Surtout que je me souvenais parfaitement qu’aujourd’hui, on en avait besoin. Le seul jour du trimestre ou on avait besoin des livres, je les oubliais. Tout à fait moi. Renonçant à ronchonner intérieurement, je décidais de trouver une solution. Je n’en voyais qu’une. Espérant tomber sur quelqu’un de gentil (parce que, comme tout le monde, je n’apprécie pas forcément les gros vents), je me tournais vers la table occupée la plus proche de moi. En l’occurrence, celle de derrière. Je souriais au garçon qui l’occupait et lui demandait gentiment :

« Excuse-moi, je peux me mettre à la place de libre à côté de toi ? »

Je songeais alors que ma phrase pouvait paraître étrange, dite à un inconnu.
Je complétais alors celle-ci.

« J’ai oubliées mes affaires. »

Je ne pus m’empêcher de lever les yeux aux ciels d’exubérance à l’évocation de ma bêtise.

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Pourquoi le temps lui semblait toujours aussi long ? Peut-être parce qu'il s'ennuyait. Il aimait ses études, et son - certainement - futur métier, mais voilà, dans ce genre de domaine, la mise en application est intéréssant voir parfois très drôle, la théorie, elle.. Ils auraient tout aussi bien pu lire des bouquins, ça aurait été la même chose. Bientôt il connaitrait toutes les déviances mentales du monde, à ce train là - quoiqu'avec les jinsil, c'est limite s'il en avait besoin de ce cours, tant ils étaient instructifs sur le sujet, pour certains spécimens. Il poussa un soupir, alors qu'une pause arrivait. Une simple pause, de surement même pas cinq minute, parce que leur professeur était relativement stressé et trop ponctuel. Mais il leur demandait déjà de sortir leurs livres, et Jun releva un sourcil. Serais-ce le seul jour de l'année ou ils en auraient besoin en cours, et non pas uniquement pour des études sans intérêt à faire dans leur chambre ? Semblait-il. Une chance qu'il les ait pris, parce qu'en général, il ne les prenait pas. Mais Dieu l'avait bénit aujourd'hui parce qu'en temps que chef de confrérie, il aurait franchement perdu en crédibilité s'il avait dû suivre avec quelqu'un d'autre - un quelqu'un qui aurait surement même pas osé lui adressé plus de trois mots, en plus. Mais soudain alors qu'il réfléchissait, la jeune femme qu'il avait observé quelques minutes plus tôt se retournait vers lui, alors qu'il tentait de sembler indifférent. Oh, il ne s'était pas attendu à ça, à vrai dire. Il voyait rarement son visage parce qu'elle ne se mettait jamais à la dernière rangée, alors c'était seulement au fin de cours qu'il l'observait parfois sortir de la salle, tel le stalker qu'il était dans son fond intérieur. Il était vraiment pathétique, en fait. « Excuse-moi, je peux me mettre à la place de libre à côté de toi ? » Pardon ? Mais pourquoi ? il n'aurait pas osé dire quoique ce soit, il se contenta de regarder la place, effectivement libre à sa droite, et finit par hocher la tête, avant qu'elle ne continue sa phrase, sentant certainement un besoin de justification. « J’ai oubliées mes affaires. » Il comprenait mieux, mais elle n'était surement pas la seule. Hors, le jeune homme à côté de Jun hae semblait, lui, les avoir, alors, il ne voyait aucune objection à suivre avec elle. Excepté qu'il n'était pas, mais pas du tout à l'aise.

- Ha, oui, dans ce cas.. il tira doucement la chaise à ses côtés, pensant que ça suffirait à la jeune femme pour comprendre qu'il était d'accord, et avec un effort, il osa même un sourire. Je peux t'affirmer qu'il n'y a pas que toi à les avoir oubliées..

Pourquoi l'avait-il ajouté ? Parce qu'il observait la salle, et qu'effectivement, il y avait plusieurs personnes à changer de place, et même deux ou trois idiots qui regardaient autour d'eux avec un air stressé, comme s'ils n'avaient même pas le courage de demander de suivre avec leur voisin.. sérieusement, certains avaient vraiment un caractère incompatible avec la vie en société. Mais il réalisa qu'il ferait mieux de mettre un terme à son monologue intérieur quand il se rendit compte que lui aussi, n'était pas réellement sociable. Pas du tout, en fait. Enfin, il pensa alors à sortir, enfin, le livre qu'ils allaient certainement utiliser, et le posa sur le bureau, au milieu, entre lui et la jeune femme, auquel il jeta un coup d'oeil, sans pouvoir s'en empêcher. Mais pourquoi diable se sentait-il toujours obligé d'avoir des attirances particulières pour les personnes impopulaires ? Il ne faisait que ça, ou alors, ceux qui étaient populaires, l'étaient pour avoir vendu de la drogue au directeur, ou pour avoir envoyé quelqu'un à l'hôpital. Faut dire, la plupart du temps, s'entendait avec les membres de sa confrérie, et ils n'étaient pas, pour ainsi dire.. gentil. Elle, s'il se souvenait bien, elle était à jayu. Jayu, sérieusement, c'était une confrérie discrète et sans histoire, mais même leur chef n'avait pas le dixième de popularité que pouvait avoir Jun Wan, Mee Na.. Ou même Bo, tient. il détourna soudainement les yeux quand il remarqua qu'elle le regardait à son tour. Quel idiot, même pas discret.

- Excuse moi, j'ai la sale manie de fixer les gens.

C'est ça, va, quelle excuse du tonnerre dit moi. bon sang, je suis un abruti.

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Il m’adressa un :

« Ha, oui, dans ce cas… », avant de tirer le siège à sa droite, m’invitant ainsi à m’asseoir.

Ouf . J’étais sauvée. Il me sourit avant d’ajouter :

« Je peux t'affirmer qu'il n'y a pas que toi à les avoir oubliées.. »

Je me tournais vers les autres qui, effectivement, commençaient à s’inquièter après avoir entendue la tête du cours dire que les livres étaient nécessaires pour le cours du jour. Je me levais silencieusement en attrapant mon sac et je m’installais aux côtés du jeune homme.
Celui-ci observait la salle de classe, comme je l’avais fait quelques instants plus tôt. Puis, il finit par placer entre nous deux le livre dont on se servirait certainement. L’ambiance n’était pas particulièrement gênée, pas comme quand on rencontre une nouvelle personne et qu’on ne sait pas trop quoi lui dire, que le silence est pesant. Surtout que, dans ce genre de situation, je ne suis pas particulièrement coopérative. Dès fois, je me dis que la monotonie répétitive de l’esprit et des relations humaines m’exaspère. Au fond, le cours de Psychologie rassemblait sûrement tous les torturés du cerveau, comme moi. Je me répétais une fois de plus de ne pas porter de jugements hâtifs. Je m’autorisais alors un petit regard vers mon voisin et vis qu’il m’observait avec un air absent. Il vit soudain que je le regardais également et détourna vivement le regard.
Timide ? Enfin, moi, je l’étais aussi, alors…

« Excuse moi, j'ai la sale manie de fixer les gens, marmonna-t-il sans me regarder. »

Je ne voulais surtout pas qu’il se sente gêné. Et puis, après tout, il n’y avait pas de quoi. Si je me souvenais bien, ce garçon là était le chef des Eodum, alors parler avec moi ne devait le gêner que dans le soucis de conserver son degré de popularité. Après tout, j’étais une Jayu. Sûrement les deux confréries les plus opposées. Mais bon, si je le voulais, je pouvais m’entendre avec absolument tout le monde. Il suffisait de faire abstraction de la classe sociale, de la popularité, du passé, des rumeurs ou bien encore de la confrérie, tiens. Dernièrement, je finissais par me dire que la solitude était lassante, au fond. Moi qui avait été autrefois si entourée et aimée, l’affection humaine me manquait. Je ne demandais pas la popularité, mais peut-être juste un peu d’affection. Cela faisait combien de temps que je n’avais pas rit, eue une vraie discussion ou encore prit quelqu’un dans mes bras ? Depuis que j’étais arrivée à Khyungee. Je vivais ma vie sociale à travers un téléphone depuis mon arrivée. Peut-être avais-je quitté des gens trop merveilleux au dehors et étais-je trop lassée pour recommencer à zéro. Mais il fallait que ça change. Maintenant. Ca me manquait vraiment trop.
Histoire de détendre l’atmosphère, je répondis :

« Tu sais, on a tous nos manies bizarres. Regarde, moi, je suis réellement maniaque, je nettoie tout le temps. Et quand je regarde la télé, je ne peux pas m’empêcher de descendre et de remonter le son sans arrêt. Il paraît que c’est assez énervant. »

Je réalisais trop tard que c’était une erreur. Quelle idée de se faire passer pour une maniaque à troubles obsessionnels compulsifs dès la première conversation ?! Ahhh, je ne réfléchis jamais avant de parler… Stupide fille.

{ Désolée pour le temps T.T }

Pourquoi s'ennuyait-il autant durant les heures de cours, et, paradoxalement, aimait-il autant son domaine d'étude ? Allez savoir, Jun hae était certainement comme tout les autres étudiants en psychologie de l'université, du pays, voir du monde : pas franchement équilibré. Et le point commun de tout les étudiants étaient d'en avoir parfaitement l'air, haha. Même la jeune fille, comment pouvait-il être sur qu'elle était aussi douce et gentille que son sourire lui laissait croire ? Les jayu avaient toujours l'air gentils, pacifiques - et parfois, c'était trompeur. Tenez, comme le type aux deux personnalités là.. Il se perdait encore dans des pensées futiles, décidément. Non, après une observation approfondie, elle semblait tout a fait normalement constituée, un peu tête en l'air peut-être, mais ça donnait un certain charme, et ça allait très bien à l'allure qu'elle avait, sans rire, elle était jolie. Mais ça aussi, toutes les jayu étaient jolies ! Elles gâchaient juste leur potentiel en ne cherchant pas la popularité. Et le jeune homme, relativement contradictoire, ne savait même pas s'il devait les applaudir pour leur modestie, ou les blâmer de passer à côté d'expériences enrichissantes. Et puis il ne voulait pas juger ! Ce n'était vraiment pas son genre, et en même temps si. Jun avait cette manie; bien sur qu'il détaillait tout le monde, repassait tout leurs défauts dans sa tête, mais peu après, il se traitait mentalement d'imbécile et essayait de se refaire une idée. Il réfléchissait trop - et portait trop peu attention à la jeune femme, maintenant, mais il vit qu'elle l'avait remarqué, et ses joues rosir, chose peu courante. « Tu sais, on a tous nos manies bizarres. Regarde, moi, je suis réellement maniaque, je nettoie tout le temps. Et quand je regarde la télé, je ne peux pas m’empêcher de descendre et de remonter le son sans arrêt. Il paraît que c’est assez énervant. » Il haussa un sourcil.. Hein ? Le temps que ça monte au cerveau, et voila qu'un sourire s'étirait sur son visage d'ordinaire fermé sous l'amusement. Au fond, c'était adorable comme réponse.

- Vraiment ? C'est marrant parce qu'en parlant de télévision, j'ai la manie de changer de chaîne en permanence, moi.. Enfin, ça prouve juste que nous ne sommes pas ici pour rien, au fond.

Ici ? En cours de psychologie, oui. Ils développaient tous des manies étranges là, comme le type devant qui faisait tourner son stylos entre deux doigts machinalement, un air endormi au visage. Jun hae voyait tout, toujours. Il avait cette étonnante capacité à décrypté les faits et gestes des gens. La plupart de ceux qui avait des manies comme ça, celles de toucher, de palper.. étaient des angoissés profonds. La jeune femme devait être sensible et fragile, elle aussi, les maniaques l'étaient souvent. Un besoin de sécurité caché ? Ha.. Non, ce n'était pas le moment dans partir dans des analyses, il s'emballait encore. Mais ? La pause n'était pas bientôt finit, en fait ? Quand la porte s'ouvrit, il compris qu'il avait deviné juste. Il ouvrit simplement le livre, laissant la jeune fille s'approcher, tout en ne sachant pas s'il devait s'en trouver intimidé ou au contraire essayer de faire abstraction de la proximité peu habituelle pour lui, solitaire dans l'âme. Maintenant, il n'y avait plus qu'a attendre la sonnerie de fin de cours.

HJ; non, c'est rien ♥ et puis ma réponse n'est vraiment pas terrible je suis désolé y_y.. - on devrait avancer vite le sujet à "après le cours" pour rendre les choses plus intéressantes, peut-être =) comme tu veux. ♥

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