Seung Ji Aniya (100 %) {Finish}

FEAT (Cl des 2NE1)
Prédéfini: Non

Seung Ji Aniya

Surnom : Aniya. Jiji. Seungie... peut m'importe ^^".

Étudiant en Art.

Anniversaire ; Âge. : 19 juin 1990, 19 ans.
Confrérie. Jinsil.

« Talenteuse. Souriante. Sans doute, trop franche. Captivante, Et…Délirante ? »

It's all about me. . .

VOTRE CARACTÈRE

Je suis une personne assez souriante et qui aime profiter de la vie. Bien sur, j’arrive a toujours me faire désirer, me faire passer pour ce que je ne suis pas et autre en perspective. Comment dire… Je sais que j’ai du talent et je me gène pas pour le mettre en avant, autant être franche, n’est – ce pas. Et puis, dans la section Art… je ne dessine pas, je danse. Il parait même que je suis encore plus meilleur et professionnel, que la prof, elle – même. Dans un sens, c’est un peu vrai aussi…

La première chose qu’on pourrait remarquer chez moi, c’est sans doute mon énergie débordante et ma passion pour la danse. Je suis une vraie pile humaine. J’arrive toujours à bouger, a me dépenser, même si j’ai les batteries a plats. C’est à se demander qui est ma drogue, ou pire… s’il m’arrive d’être calme et à ne rien faire. Sinon, j’avoue que étant franche, je ne mâche pas mes mots quand il s’agit de dire le fond de mes pensées, envers quelqu’un que j’apprécie ou que je n’aime pas. J’aime tout aussi bien la compagnie des filles comme celles des garçons, au près de moi.

Je suis sortit avec des filles, tout comme avec des garçons, mais depuis ma dernière relation, il m’arrive d’être assez distantes quand même. Car, je n’ai pas vraiment envie qu’on sache ce qu’il m’est arrivé, l’année dernière… Ni qu’on sache pourquoi j’ai longuement sécher les cours aussi. Je suis quelqu’un d’assez compliquer à comprendre parfois. Mais je fais mon possible pour ne penser qu’à vivre comme je l’entends. Je n’aime pas qu’on me marche sur les pieds ou qu’on cherche à me briser. J’ai un esprit assez contradictoire voir rebelle aussi parfois.

Disons juste que j’ai un tempérament de feu, et le sang assez froid. Il me suffit d’un rien, quelque fois pour que je pette un câble, mais ca dépends uniquement des personnes avec qui j’ai des liens fort et unique ou de simples connaissances tout comme mes ennemis. Mais si tu veux savoir plus de choses, sur moi… voila la suite… Saurais- tu me définir, si tu ne sais rien de moi ? Pourrais- tu me décrire si tu n'entends pas une seule fois, ma voix. Peu de personne savent entendre ce son qui sort de ma bouche. Peu de personnes savent me faire parler. Mon dieu, quel est ce supplice qu'a inventée la vie, un jour, en me faisant naitre... en me faisant vivre ce que j'ai vécu. Un crime parfait. Un passé horrible que je ne souhaite a personne. Mon cœur semble avoir un défaut. Il ne veut plus aimer. Comme si le mot amour semble être au dessus de ma vie. Je ne cherche qu'a mettre fin a mes jours, puisque vivre avec ce passer m'est insupportable. Sunbae...

Tiendras- tu ta promesse. M’empêcheras- tu que je me meurs, a chaque fois. J'ai encore besoin de toi cette fois. Vous l'avez compris. Je suis une fille assez compliqué intérieurement, je jongle entre les émotions, mais surtout... une seule. Elle fait de moi, quelqu'un d'assez renfermer, d'assez timide et beaucoup trop réserver. Ne rêve pas de moi, qu'un jour, je me mette a parler. Je resterais dans mon coin, rouler en boule, comme une fleur qui ne veut jamais grandir. Je n'ai pas eu d'enfance. Je ne suis pas une adulte. Je ne suis qu'un être qui ne sait pas ou est sa place... je ne suis qu'une fille, qui depuis trop longtemps, est perdue...

Trop silencieuse, beaucoup trop calme... je ne fais que réfléchir. Dans un sens, je suis beaucoup plus à craindre que tout le monde. Parce que dans un sens, aussi... J'en veux au monde entier... de n'avoir rien remarqué... Tous sauf une seule personne. Mon SunBae. Mon grand frère protecteur, qui a toujours pris soin de moi. Lui, je l'adore, je l'apprécie... Il est la famille que je n'ai pas pu avoir. Il est tout ce dont je e suis pas. Mon Idéal... Sortir avec lui ? Aiish... mais c'est de la folie. Je n'ai pas vraiment ni de défauts, ni des qualités. Je me contente juste de vivre le moment présent. J'agis en fonction de mes humeurs... Je suis dans un certains sens, unique. J'ai toujours tendance a ce que SunBae me surprotège même si d'un coter, je n'aime pas trop ca. J'aime aussi les glaces a la vanille et a la fraise, mais bon... ca, ce n’est pas le sujet.

VOS RELATIONS

Je suis quelqu’un d’assez étrange, je peux être sociable tout comme la seconde d’après, être le contraire. Il faut savoir me prendre avec des pincettes. C’est vrai qu’il m’arrive d’être assez dépressive et surtout suicidaire, s’il m’arrive d’avoir le cœur briser, par autrui… Mais sinon, je m’entends plutôt bien avec tout le monde. Sauf quand je suis dans mon monde… autrement dit, la danse.

Behind the mask.

PSEUDO

ÂGE

AVIS, SUGGESTIONS, COMMENTAIRES ?

PRÉSENCE SUR LE FORUM

Spoiler:

Validée

Vu que personne n'a encore dit bienvenue, je vais laisser un peu la fiche ici en évidence n_n

Merci Oppa ^^ !

Bienvenu XD

Merci p'tit poussin *ZBAFF*

Bienvenue ici !! =D
&² Amuses-toi bien !

Mon histoire... Car tout compte fait... je la mets quand même pour les curieux xD !

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Niwi’s Story.

Tu sais, dans la vie de Niwii, rien n’as jamais été rose. Lors jour de sa naissance, sa mère était resté que pour la maintenir en vie un laps de temps, avant de retourner a ses vagues occupations, avec son bourgeois de mari. Cette famille, chic et friquer, tout le monde, ou du moins, la plus part les enviaient. Ils avaient tout ce qu’on pouvait qualifier de parfait. Peut – être sans doute, un peu trop. Une belle et immense maison qui ressemblait a un manoir. Une seconde habitation qui était une villa avec une bais vitrée. Ainsi que des voitures de collections comme véhicules de tous les jours. En plus de cela, ils avaient, à présent. Une jeune fille… qui… je cite, était censé être exemplaire.

Chapitre 1 ; « Parce que les mensonges, ne sont que les douces et cruels paroles de la réalité. »

Tu sais, quand tu entre pour la première fois a la maternelle. Et que tu crois aux comptes de fées. Tu t’en fiche d’avoir une nounou comme parents a la place de ceux qui le sont. Tu t’en fiche aussi que le monde dans le quel tu vis, semble trop parfait et illusoire. Alors, quand tu grandis enfin, tu vois le monde autrement. Si tu savais ce que j’ai enduré pendant 19 ans. Tu te la fermerais un peu, en me voyant. Pas vrai ? Regarde – moi, regarde pourquoi je méprise le monde, et j’évite de me livrez si facilement. Peu de gens me connaissent mais ceux qui savent tout de moi, savent aussi que la plus part, … m’ont laissé mourir. Je déglutis en avançant dans les couloirs… je ne suis plus en maternelle, mais en première. La classe au dessus, dans la cours des demi – grands, les mêmes qui commencent à dicter leurs lois. Au départ, j’étais la gentille petite fillette a sa maman, qui se laissait faire. Qui obéissait a tout le monde, et qui servait même de bouche trou, bon – cœur et naïve comme je l’étais. Tu sais, des fis, je me demande pourquoi encore, j’ai survécu… a ce qui va m’arriver, maintenant. Quand je reprenais la raison, il était bien trop tard. La machine de guerre était lancée, mon destin tout tracer. Je devais me trouver au milieu de cette cour, au milieu des élèves qui me bizutaient. Au milieu de ceux qui s’amusaient à me décoiffer, au milieu de ceux qui me déchiraient les vêtements avant de les couper ou de les salir. Alors, quand ils sont partis, et que je rentrais a la maison, sans broncher, sans même pleurer. Pas même mes parents me réconfortait. J’étais vide de sentiment, tu sais. Je n’ai pas peur de ce que je vis… mais peur… uniquement de la mort.

« Nam – Nam (la nounou), tu crois qu’un jour… tout s’ arrangeras pour moi ? »
« Je te le promets, princesse… tout s’ arrangeras un jour…, toutes les histoires terminent bien, sinon, elles ne devraient pas exister… Et c’est toi le centre de leurs univers, Niwii. Promets – moi de garder ce sourire aux lèvres… même quand tu vas mal. Montre que tu es forte, même si tu te trouve au plus profond dilemme. Et que tu en souffre à perdre haleine. Sourit, reste heureuse… Et je te le promets qu’un jour, tout s’ arrangeras…Saranghamnida, Niwii »

Alors, grâce à tes paroles, je retournais de nouveau à l’école, mais chaque jour, c’était pire. Mais je ne pleurais jamais, pas une seule fois. Entre temps, j’étais été frapper, battue, ridiculiser et démolie moralement par l’ensemble de l’institut ou je me trouvais étant gamine… Et mes parents –si stupides- ne faisaient que m’engueuler pour alourdir ma peine intérieure. La gentille petite demoiselle, continuait de sourire et de jouer à la poupée. J’y jouais pour oublier que je souffrais. Pour oublier que je pouvais aimer. Compatir. Être heureuse…

Chapitre 2 : « Vol, vol, petit ange, même si tes ailes sont brisées. »

Tu sais, aujourd’hui, le jour de mes 18 ans, j’ai été à l’enterrement de ma nounou. Mes parents m’ont laissé la villa pour moi, à présent. Me jugeant assez grande et responsable pour m’occuper que de moi. Les larmes coulent sur mes joues, pour la première fois. C’est dans le même moment ou Won Jae était venu me draguer pour finalement, obtenir a force de persévérance, mon amour si lointainement enfuit dans mon âme. Chaque jour passer en sa compagnie, était tout aussi charmant et étonnement formidable. Je ne pouvais pas rêver mieux. Jusqu’au jour, où celui que je redoutais me trouve. Tu sais, tu serais loin d’imaginer que la personne que tu croyais un raté de la vie, celui qui m’avait arraché à mon unique amour du moment, était tout simplement mon père. Il m’avait séquestré dans sa maison, non, non, pas la familial, ni la villa. Celle que l’on garde uniquement pour les vacances. Il m’avait gardé prisonnière du monde extérieur. Pourquoi ? Parce qu’il était jaloux. Jaloux de toi, Wonnie. Tu lui avais pris sa dulcinée, la réplique parfaite de son épouse, avec le coter plus jeune et plus remplie de vie. Il t’enviait et voulais avoir la seule chose qu’il ne pouvait pas avoir de moi. Mon amour envers toi. Bien sur, il ne m’as pas que garder dans cette maison, il me privait de manger, ou du moins, je refusais de manger, vu comment, il m’avait attaché au lit. J’avais les poignets et chevilles lier par des draps qui me donner une allergie monstrueuse. J’étais tout simplement dégoutée de voir a quelle point, l’obsession de mon père, l’habitait et grandissait de minute en minute. Alors, pour me punir d’être aussi contradictoire avec son esprit, tellement fermer. Alors, il avait commis l’irréparable. Il m’avait violé et de plus, m’avait relâché, le jour ou toi, Won Jae, tu m’annonce que tout est finit entre nous. Tu ne m’as jamais laissé le temps de m’excuser, ni même de m’expliquer. Résultat, j’étais totalement morte de l’intérieur, et je me battais constamment contre mon tempérament, tout feu, toute flamme. Je déglutissais largement avant de me changer les idées, en apprenant à danser…

Chapitre 3 ; « Mélodie… tendre mélodie. Glisseras – tu toujours à mes oreilles ? »

Tu sais, Bo Hyun. Je crois que c’est le seul jour qui m’est resté graver dans mon cœur, quand je repense à nous. Tu m’as découvert en train de danser face au miroir, ondulant mes formes que je trouvais horrible depuis le jour ou je suis devenu la victime de mon paternel. Je ne t’accordais que de simple sourire, avec ce teint froid qui s’interposait sur mon visage. Avec ton air de gamin attendri, tu t’étais rapproché de moi, voulant en voir d’avantage. Alors, doucement, j’apprenais à me lâcher jusqu'à prendre totalement mon envol. Grâce à toi, je suis l’une de plus talentueuses danseuses de l’enceinte de l’école. Tu m’as longtemps dis, aussi, que j’étais mignonne, mais jamais je ne te remerciais… j’avais comme un mur qui empêchait ma voix de sortir en face de toi. J’étais encore trop bien différente de ce qu’on jugeait facilement de moi. Mais finalement, Tu m’as appris à me dévoiler chaque jour, d’avantage plus a toi, tout comme toi aussi. Entre nous, c’est étrange, mais j’avoue que ca ne me déplait pas. Sur les autres points de vue, j’ai aussi ma unnie qui compte énormément pour moi, mon SunBae, ainsi que le poussin pas très doué… comme amis… mais ca, c’est une autre histoire.

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