<< Qu'est-ce qu'un éléphant rose avec une moustache bleu et des bottes jaunes ?>>

Plissant les yeux sur le petit bout de feuille blanche, que je venais de prendre d'un des papiers que l'on trouve dans les papillotes. Vous savez ses papillotes dégueulasses qui sont aux fruits et qui ont le gout d'un médicament en cas d'Angine ? Bas voila, je venais d'avaler ce truck immonde, avant de ne le recracher par dessus la fenêtre de ma chambre. Je reteins un cri quand je vis que mon cracha-fruit était retombé dans la gouffa de la surveillante du bas. Celle-ci se toucha les cheveux, puis poussa un cri de fureur avant de ne lever les yeux vers ma fenêtre. Dans un pur réflex, je m'accroupis contre ma fenêtre, le vieux gout de la pseudo pâtisserie dans la bouche. Le papier dans les mains je lisais la devinette, en laissant la chaperonne crier. C'est alors qu'en cherchant la réponse, je ne la trouva pas. C'est bien entendue le genre de papier qui au dépars mesure cinq milles kilomètres de long, qu'une machine découpe et qui en passant vous découpe la moitié de la blague ou de la réponse.

Vous savez ce qui est le plus exaspérant dans tous sa? Non, c'est pas le gout pourri de la papillote, ni la réponse coupée. C'est juste que j'entends les chaussures noires, talons aiguille 20 cm ultra-light-trop-stylées-ouais-je-suis-la-plus-belle de l'autre tarée de surveillante qui se diriges vers ma chambre. Je me relève d'un coup en posant le papier de la devinette sur mon canapé posté au rebords de ma fenêtre avec une multitude de coussins multicolores. Je doit avouez qu'une chambre sans colocataires c'est la classe hein? Bref, je me lève brutalement, remontant mon caleçon d'homme qui retombait sur mes hanches de bébé, et je déboutonnait à toute vitesse ma chemise d'homme. Chaque fois que je voyais mon frère je le dépouillais de ses fringues... Bref, arrivée en sous-vêtements devant ma salle de bain, j'y entrai précipitamment, puis referma la lourde porte au cinquante milles pin's accrochés dessus. Je saute dans la baignoire et allume l'eau.

Hmm.. Une eau chaude se faufile entre mes reins et entre les bretelles de mon soutient gorge .. HEIN? Mon soutien gorge ? Non d'une pipe! J'ai oublié d'enlever mes sous-vêtements. Je sors vite de la douche et enlève le tout, puis j'entends l'autre Miss Gouffa Light entrain de crier en tambourinant la porte de ma salle de bain. Je du resté a peut près deux heures et quelque, sous la douche en attendant qu'elle parte enfin. En sortant j'eus la tête qui tournait pendant un moment, puis en ouvrant ma porte pour aller m'habiller je me reçut un coussin en pleine figure. Je levais les yeux et fit un vague sourire, à mon frère allongé sur MON lit entrain de lire MES livres de shakespeare .. Je lui balança une boite de céréales vide dans la tête, avant de n'enfiler par dessus mes sous-vêtements propres, un très long tee-shirt tunique blanc avec des rayures bleue marin. Il retombais au milieu de mes cuisses. Il était tellement grand, que la manche droite me retomba lentement en dessous de l'épaule dévoilant ma peau pâle telle de la porcelaine suisse (sa se dit sa ?!!). J'enfile mes bottes à petits talons bleu marine aussi et je prend ma grosse écharpe de quinze mètre de long blanche, que j'enroule autour de mon cou. J'attache mes long cheveux en un chignon qui sur le coup parti sur le coté avec des mèches qui sortirent en même temps.

Je courais maintenant dans le couloir pour aller enfin à mes cours. Je passa une journée banal et mouvementé comme d'habitude. En cour de Chimie j'avais fait explosé la table du fond, en Français j'ai lu toute l'heure l'avare de Molière, j'ai excité tous le monde avec mes intonations débiles et pour finir, mon cours de chant. Il était maintenant 20h00 et j'étais avachie dans mon canapé/fenêtre regardant les étoiles déjà là. Je flânai comme sa encore une heure, et à 21h00 je décida de faire un tour dehors. Arrivée dehors je reçut un message d'un ami à moi m'invitant à une fête. C'est alors que je me dirigea à cette fameuse fête.

Il est 1h35 du matin et j'ai la gorge sèche, une haleine de vodka et des yeux shootés qui regarde le ciel remplis d'étoiles encore. Enfaite, je crois que sa fait 1h que je marche dehors avec cette bande de copains, pour certains, et que je regarde le ciel. Je crois même que je tien le bras de quelqu'un. Puis je sans que l'on m'assoie sur quelque chose, baissant les yeux je voie que je suis sur un banc, toujours un bras inconnue sous le mien. Je tourne la tête et voie un jeune homme embrasser sa bouteille de soju. Sa fait combien de temps que je le tien comme sa lui? Haaaa... je suis entrain de planer depuis tout à l'heure attendant un rire qui se déclenchera sans s'arrêter. Puis hooOOOooo, je sens mon corps se lever et la bande de copains se floute au loin derrière moi. Le bras auquel je m'accroche comme à la prunel de mes yeux, marche. Enfin . ..haaahaa .. Avez-vous déjà vu, un bras qui marche?

10min plus tard, POUF je me sens rassise. Je regarde autour de moi, le jeune homme et sa bouteille viens de s'endormir et moi je tien sa main à treize millimètre de mes yeux et je la regarde comme si c'était un joyaux de la couronne. J'examine chaque plis, puis j'entends un bruit à coté. Un bruit de verre. Je tournai la tête et voie la bouteille de Soju cassé par terre, et le garçon qui se réveil d'un coup et regarde tristement sa bouteille. Puis il fouille ses poches, moi je le regarde comme une débile et je luis tien toujours la paume de la main, ayant arrêterr de l'inspecter. Puis le garçon fit ses poches...

" V’là c’qu’y arrive quand on est trop bon…Crétin ! "

Sur le coup je ne réalisa pas, mais l'alcool toujours dans le sang, je me mis à rire d'une voix cristalline/Autiste. Je tien toujours sa main et je fait des petits bons sur place en rigolant par crochet de syllabes. Je pointe mon doigt vers le garçon et bascule en avant. Mon doigt se plante dans son front. Et je tombe raide sur ses genoux. Je rigole toujours et de ma main libre, je tapote la table à la recherche d'un rafraichissement.

Hebe ;; << J'é la gorge sécheuuuuu........ Ha ... Ha ... HA .... HAAA ....ha...>>