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Kim Xie YouJ
Age : 34
Humeur : Pourquoi ce devil est comme ça avec moi TwT
Where am I ? : Surement à la bibliothéque, toute seule...
Messages : 107
| Sujet: Kim Xie You ◊ Sam 26 Déc - 19:41 | |
| FEAT Hsu Wei Lun Prédéfini: Oui/Non
| Kim Xie You
Étudiante en histoire.
1er avril 1990 ; 19 ans Leader des Jayu |
« Intelligente ; Gentille ; Timide ; Discrète ; Honnête » It's all about me. . . ▬ VOTRE CARACTÈRE;
« Je suis l’antithèse de la Princesse, le négatif du conte de fée. »
J’ai toujours considéré mon existence comme quelque chose d’inutile. Enfin, j’agrandis cette cause à l’espèce humaine entière. A quoi cela sert-il que nous existâmes ? La Terre peut très bien fonctionner sans nous. Au fond, nous faisons que la détruire petit à petit, forcé d’ouvrir les yeux, notre espèce n’est qu’un ramassis de conneries dans lequel nous prenons un malin plaisir à nous rouler dedans. Il n’y a rien de plus dérisoire que la vie d’un être humain. Certains me disent défaitiste et pessimiste, à ceux là je réponds que je ne fais que le simple constat de la réalité. Plutôt calme de nature, il est vrai que je ne me mêle pas souvent aux affaires des autres, restant dans mon coin à observer tranquillement ce qui se trame autour de moi. Peut-être est-ce pour cela que je possède un esprit aussi vif, complexe mais très intelligent. A cause de ce trait de ma personnalité les gens ont tendance à se tromper. Enfin il y a deux sortes de personnes autour de moi : celle qui pense que je suis un être des plus adorables et attachant qui se laisse prendre par mon physique avantageux et ma bouille d’ange et celle qui me prend pour la plus naïve des femmes, la plus idiote, juste par le fait que je n’ouvre pas souvent la bouche et que je reste à l’ écart. Ceux-ci n’ont pas tord, je ne sais pas m’ouvrir aux gens. Pourtant j’aimerai faire confiance, et m’amuser. Beaucoup de personnes doivent me trouver ennuyeuse. C’est peut-être bien vrai, je suis pathétique. Je ne serais jamais la belle princesse des contes de fées, mais plutôt le crapeau que personne ne regarde ou bien la vilaine sorcière. Je suis pleinement consciente de mes actes et de la personne que je suis, c’est pourquoi il m’arrive que très rarement d’avoir des remords. Lorsque j’agis je prends l’entière responsabilité de mes actes. Il n’y a rien de plus exaspérants que ceux qui ne savent jamais ce qu’ils veulent. Je ne supporte pas les gens indécis constamment. Oui les erreurs ça existe, mais à petites doses, sinon cela ne devient qu’un ramassis d’excuses bidons. Mais ne vous m’éprenez pas. Au contraire de cette discrétion qui me caractérise quand je décide de me mettre en avant et lorsque je laisse mes lèvres s’entrouvrir pour que ma langue se délie, la chanson n’est plus du tout la même, et souvent les gens se trouvent déstabiliser ne s’attendant pas à cette réaction de ma part. Je deviens certes toute rouge, mais je sais parler ! Je ne suis pas une stupide statue de marbre ou un meuble. Vous allez voir, je vais me secouer. Je ne serais plus aussi invisible qu’avant !
▬ EXEMPLE RP/HISTOIRE
- Spoiler:
« NOOOOOOOOOOOOON ! »
Je m’écroule par terre. J’ai mal. Je ne vois plus rien. Quelque chose coule sur ma joue, c’est tiède et salé. Une chose liquide. Je n’aime pas ca, je ne vois plus rien. Tout devient flou petit à petit. Puis noir. Je n’arrive plus à ouvrir les paupières. J’essaye de m’accrocher à un des meubles, mais en vain. Une douleur. Elle s’empare de moi. J’ai mal. Je ne peux plus bouger. Mes mains sont moites. Mes jambes n’ont plus la force de se relever. Quelque chose s’est détruite en moi. Je n’arrive plus à respirer convenablement. C’est atroce. Je voudrais qu’on me tue. Qu’on me libère de cette souffrance. Vite, s’il vous plait. Un couteau, un fusil, qu’importe. Retirez-moi cette plaie. Je n’en peux plus. J’ai mal. J’aimerai hurler, mais ma lèvre supérieure est tellement collée à celle inférieure que je ne peux rien faire. La douleur ne passe pas. C’est affreux. J’essai de respirer profondément. De chercher d’où vient la source de tous mes maux. Est-ce mon ventre ? Non. C’est… mon cœur.
« J’ai mal.
Et je suis seul, dans le noir. »
••.•´¯`•.•• Flash Back ••.•´¯`•.••
« Je ne suis pas ce que vous pensez, je ne suis qu’un objet. »
Déjà tout petit, je ne montre aucune expression sur mon visage. Je ne savais pas sourire. Ni pleurer. Je n’avais pas le droit. J’étais toujours seul, dans ma chambre. Une si grande pièce, si sombre. Nul n’avait le droit de venir me voir. Et on ne m’autoriser pas non plus à en sortir. Un robot. Mes pensées ne devaient se diriger que vers mes cahiers. Mon apprentissage était strict. Je ne connaissais pas le verbe ‘jouer’. Par contre ma chère mère, elle, nul doute qu’elle ne le savait que trop bien. C’était la seule personne qui rentrait dans ma chambre. Du couloir, je distinguais ses pas. Je reconnaissais exactement les bruits de ses illustres chaussures. Et mon cœur se mettait à battre. De plus en plus fort. Je savais ce dont il allait se passer dès que la porte s’ouvrirait. Je ne bougeai pas. C’était déjà trop tard.
« AYAME !!! »
Elle me sauta au coup. Ce monstre, exhalant le parfum à tout rompre, m’agrippa jusqu’à sa joue. Puis me reposa sur le sol, où je parvins à me ressaisir un peu. Je voulais m’enfuir. Mais hélas, je n’étais qu’un pion. Je la regardai de haut en bas. Elle était toujours habillée de la même façon. Beaucoup de paillettes, d’or et d’argent. Merveilleuse à souhait, pourtant, je ne la voyais pas comme cela. Un cauchemar. Il fallait que je me réveille. Elle allait encore faire se qu’elle voulait de moi. Je ne pouvais rien dire. Le silence. Je ne pouvais rien lui dire. Ce monstre, l’autorité, allais-je prendre enfin mon courage à deux mains et me révolter ? J’en avais envie. Mais, ce n’était pas le bon moment.
Non loin de nous, je distinguais une autre dame. Elle portait une valise. En or naturellement. Je tremblais de nouveau. La domestique ouvrit la mallette sur ordre de ma chère mère. Quelque chose de rouge à l’intérieur, avec un peu de rose. Une robe semble-t-il. Soudain je me mis à regarder aux alentours. Une issue ? Non. Pas la peine d’y penser. Le monstre était bien trop intelligent pour me laisser filler. Elle avait besoin de moi. Elle me voulait pour assouvir son désir. La domestique se tint derrière moi, et d’un petit coup de main, elle me poussa. J’arrivai juste devant la valise. Ma gorge se racla. Je baissai la tête. Trop honteux pour imaginer la suite. Alors que je la connaissais mieux que moi-même.
J’ouvris grand les yeux. Je ne fus pas surpris. Un tissu rouge trainait à mes pieds, je ne sentais plus mes converses. Je posai ma main sur mon visage. Je sentis un liquide visqueux. Surpris, je la retirai aussi vite. Je n’osais pas me regarder dans la glace. A près tout j’étais habitué. Je me tournai alors vers ces monstres. Ils souriaient. Etaient-ils content de moi ? Ou une simple moquerie ? Je les entendais lâcher des petits ‘comme elle est mignonne’. Non ! Je suis un garçon ! Un garçon vous-dit je ! Pourquoi me faites-vous subir tout ceci à longueur de temps ? Je ne veux plus être votre jouer. Mais… personne ne pouvais discerner mes mots. Rien ne sortait de ma bouche, je n’en avais pas le courage. Le silence.
Comme mes cours se passaient à la maison, je n’allais pas à l’école et donc, je n’avais pas d’amis. C’était assez pesant. Je ne pouvais même pas écrire dans un journal intime ou avoir un petit nounours comme compagnon car le monstre l’apprendrait aussi vite et je me ferai punir. On me punit souvent. Je ne suis pas sage il parait. Pourtant je ne fais rien de mal. Une fois j’ai cassé de la vaisselle. Et je me suis coupé. Ca a beaucoup saigné. On m’a enfermé dans ma chambre. C’est à cause de cela que je ne peux plus sortir. Le monstre n’était pas content, il hurlait, il criait sur moi. Il avait l’air d’avoir mal. Il était rouge, comme la robe. Mais moi, je ne savais pas que c’était sa porcelaine préféré. Trop petit pour comprendre. Une grosse cicatrice se formait peu à peu sur mon poignet gauche.
Allongé sur le lit. Je regarde vers la fenêtre. Des nuages. Comme ils sont beaux. Et comme j’aimerai en être un. Mes journées se passent comme d’habitude. Mais le soirs, je suis toujours assis ou allongé sur mon lit. J’attends la lune. Elle, elle ne me punira jamais. Je tends la main. Mais je suis bête, je ne peux pas l’attraper. Je voudrais tellement. Elle est si belle, si scintillante. Alors je me mets à imaginer que je suis le soleil, et que c’est mon amoureuse. J’ai lus que l’amour c’est une bonne chose, et que les gens sont heureux. Peut-être que le monstre ne sera plus fâché contre moi si je suis amoureux ? En même temps, je ne sais pas ce que c’est, je l’ai lu dans un livre, mais c’est tout. Est-ce que ca m’arrivera un jour ? Hum… Je vais priés. Je vais y penser très très fort. Je regarde la lune une dernière fois, puis je prends la couverture. Je la tends pour passer dans les draps. Fixant mon réveil, je vois qu’il est déjà l’heure. Il faut que je fasse vite. Hop. Je plonge. Je me couvre des draps. Mes yeux se ferment. Mais lentement, car je ne veux pas passer trop vite à demain…
Dans la maison, tout le monde parle des nouveaux arrivants. A cotés de chez nous. Les anciens voisins ont déménagés, mais personne ne sait pourquoi. Moi-même je ne le savais pas. Je ne les vois pas de ma fenêtre. Mais j’entends beaucoup de chose, venant toujours des domestiques, les commères de la maison. Je voudrais sortir de ma chambre pour allez voir, mais je ne peux pas. A quoi ressemblent-ils ? Sont-ils de gentilles personnes, toutes chaleureuses ? Je ne fais pas vraiment confiance aux adultes. Mais peut-être qu’il y a mon sauveur dans cette autre maison. Je l’attendrais, je suis sur qu’il viendra. J’entends la porte qui s’ouvre, le monstre vient vers moi. Le silence.
Des années ont passé. Je suis devenu plus grand. Mais j’ai toujours cet aspect de fille. Le monstre joue toujours de moi. Ma vie n’a pas changé. Pourtant aujourd’hui, ma chère mère est de sortit ainsi que mon papa. Naturellement les domestiques sont joyeuses. Elles s’en vont. Elles n’ont pas remarqué qu’elles me laissent seul. De toute façon, je suis invisible. Je ne sais pas si j’ai le droit de sortir de ma chambre. J’ai peur de me faire gronder. Mais je suis grand maintenant. Je ne suis pas encore un adulte, je crois que ca s’appelle l’adolescence, je l’ai lus dans un de mes cahiers. Alors j’ouvre la porte. Pas un bruit. Etrangement ca me donne la pêche. Je me sens un peu mieux. Peut-être que ce n’est juste que la curiosité des dehors qui me tourmente. Pas par pas, j’arrive jusqu’au salon. Dans mes souvenirs il me paraissait si grand. Là il est quel conque. Ils ont changé la bibliothèque. Qu’elle est jolie ! Tu crois que le monstre me laissera lire un des livres qui s’y trouvent ? Mon admiration est si grande. Mon genou tamponne cependant la table basse qui me fait sursauter aussitôt. Je me réveille des mes pensées. Mon regard se fixe sur la fenêtre grande ouverte. Je m’y rapproche. Le ciel est si beau, mais j’ai les yeux rivés sur un garçon, il doit avoir le même âge que moi. Il m’intimide. C’est surement mon voisin.
Je ne sais pas où son les clés. Je veux sortir. Je veux allez lui parler. Je veux un ami. Cherchant partout, je finis par les trouvés. Mais où est la porte d’entrée ? Il n’y a pas de plan ici, ce n’est pas une page d’un livre. Quand je l’eu enfin trouvé, je tremblai un peu, car je ne savais pas ce que j’allais découvrir dehors, et surtout, si j’allais me faire gronder. Qu’importe ! Au point où j’en étais. D’un geste vif j’ouvris. Ca faisait tellement longtemps que je n’étais pas venu à l’extérieur que le soleil m’ébouillit. Mes yeux s’habituèrent par la suite. Et je me mis en direction de la maison d’à coté. Malheureusement, le monstre avait eu le temps de m’habillé en princesse. Je n’eu pas le temps de m’apercevoir que je me tenais devant lui que le garçon m’adressa un sourire chaleureux. Je sentis que je devenais rouge comme une pivoine. Je voulais disparaitre. Il allait se moquer de moi lui aussi ! Soudain, j’entendis un petit rire. Tout mignon. Il sortait de la bouche du garçon. Je n’en croyais pas mes yeux. Ecarquillé, je le fixai en ne bougeant plus. Il me tendit sa main en me disant en même temps son nom à vive voix. Hikaru. Quel joli prénom. A partir de cet instant, je n’avais que ce mot en tête. Nous nous parlâmes pendant un petit moment. Enfin, c’est lui qui parlait, moi je l’écoutais, sans le lâcher du regard. J’étais en admiration. Je ne sais pourquoi mais il m’intrigué. Je voulais tout connaitre à son sujet. Je voulais rester avec lui. Mais moi, je ne sais pas comment parler aux autres. Suis-je un monstre ? Va-t-il se lasser de moi ? Non !
Cela a continué pendant un long moment. Dès que mes parents sortaient un jour dans la semaine, je filai discrètement le voir. Il me manquait tout le temps. Et je m’étais préparer à lui parler, pour une fois. Avec mes mots. Tout lui dire, ce que j’éprouvais, que je pensais à nos retrouvailles. Mais cette fois-ci, il m’attendait avec des fleurs. Il avait une amoureuse ? Une petite parcelle de moi devint jalouse. Puis il me les tendit. Je fus sous le choque. Je venais de comprendre. Il me prenait pour une fille. Cela voulait-il dire que j’étais son amoureuse ? Etait-ce bien le moment de lui déclarer mes sentiments ? Je pris mon courage. Ca ne devait pas être bien difficile à faire. Je l’avais lu souvent des les livres. Je me mis sur la pointe des pieds, étant plus grand que moi, je voulais être à sa hauteur. Je lui dis tout, je me sentais bien, mais nu. Etrange sensation. D’un coup, tout s’effondra. Il ne voulait pas de moi, il n’avait pas les mêmes sentiments. Il m’expliqua pendant un moment, que je n’étais que son ‘amie’, sa meilleure amie. Moi, j’en voulais plus. Alors je fis tomber violement les fleurs sur le sol. Je m’enfuis, en direction de ma chambre. Et je m’enfermais à clé. Le silence.
Je déteste les fleurs ! Je ne suis pas une fille ! Arrêtez !
Malencontreusement, ce ne fut pas comme dans les livres.
••.•´¯`•.•• FIN DU FLASH BACK ••.•´¯`•.••
« J’ai mal.
Et je suis seul, dans le noir. »
Je me sentis si bête. Si sal. Comment avais-je pus me faire avoir ? Moi qui étais si intelligent. L’amour, ce n’est pas mon fort. Je ne veux plus jamais tomber amoureux !
Les années passèrent… je n’eu plus de nouvelle d’Hikaru, ou plutôt, je ne voulais plus le voir.
Un soir, je vins dans le salon familial. Mes parents étaient assis. Ils regardaient la télé. Je me plaçai devant. Au point où j’en étais, je n’allais pas me mettre dans un coin. Respiration. Le monstre me fixa avec un air sévère. Mais je n’eu pas peur. Il me semblait que j’étais devenu adulte. Il était temps que je fasse ma ‘renaissance’. Oui, renaitre. Etre moi-même. En serais-je capable ? J’ai peur de l’extérieur. Je ne veux pas rencontrer d’autres Hikaru. Je ne veux pas avoir aussi mal qu’avant. Je tape sur la table basse. On entend un cri. Je crois que ca vient de ma gorge. Ils se regardent. J’ai envie de pleurer. Mais je reteins mes larmes. Alors mon père se lève et s’avance vers moi. Ma chère mère, quand à elle, s’en va discrètement du salon. Elle a l’air contrariée. Vais-je me faire punir ? Papa me dit que je peux partir, que je suis grand maintenant. Qu’il avait déjà prévu que ce jour arriverai, et qu’il m’avait trouvé un lycée, Sakurina. Je ne serais plus entre les griffes de ma chère mère.
C’est alors que je déploie mes ailes, et que je fonce vers l’inconnu.
▬ VOS RELATIONS
Les 7 chefs . . . « Je crois que la plupart d'en eux ne me voit pas vraiment, ou ne connaisse pas mon nom. Mais ils sont tellement impressionnants certains ! Bo par exemple. Il a la confrérie la plus étrange de l'université, mais il s'impose d'une façon incroyable. Mais il ne m'a jamais adressé un regard, tant mieux peut-être. Sun Hee est comme un modèle pour toutes les femmes je crois, elle est tellement sure d'elle. Elle me regarde, elle, en plus ! Je crois qu'elle m'aime bien. Mais je ne sais pas quoi penser, au fond. Le chef de d'Eodum, je ne veux pas m'en approcher. Au fond, je crois qu'il n'y a que celui des Gamjeong qui semble normal ! Mais cela dit, il a l'air aussi froid qu'un glaçon. »
Baik Mi Ran « Elle est tellement gentille avec tout le monde, c'est une pacifiste cette fille, elle aime tout le monde, et elle cherche a ce que tout le monde soit heureux ! Elle mène un tellement beau combat en plus pour la défense des animaux, j'admire beaucoup cette fille. Et en plus, elle cherche à m'aider, moi, a me faire plus d'amis et à être plus extravertie. Je lui suis vraiment reconnaissante, parce que si je commence à changer c'est surement un peu grâce à elle. »
Kim Hwa Rang « Je ne sais pas pourquoi il s'acharne comme ça sur moi, je ne crois pas lui avoir fait de mal, mais il à une attitude vraiment mauvaise avec moi, je crois que je l'énerve. Mais je ne fais pas vraiment exprès.. Il me prend comme souffre-douleur, et j'ai toujours peur qu'il finisse par me faire quelque chose. Il me fait peur, oui. Je l'évite le plus possible, mais s'il me tombe dessus je sais que je vais passer un mauvais moment, il est vraiment cynique, mais je me doute que ça doit cacher quelque chose. Je ne sais pas ce qu'il veut, mais un jour peut-être que j'oserais lui faire regretter son comportement. »
▬ PSEUDO Snow, c'est mon deuxième personnage. ▬ ÂGE 18 ans ▬ AVIS, SUGGESTIONS, COMMENTAIRES ? Je suis nulle en graphisme alors j’espère que quelqu’un aura la gentillesse et la bontée de me faire un avatar avec mon image T_T merci ▬ PRÉSENCE SUR LE FORUM 6/7 faut bien que je dorme des fois
Dernière édition par Kim Xie You le Sam 26 Déc - 21:56, édité 1 fois |
| | | Go Ha NeulSS
Age : 34
Humeur : Pétillante ♪
Where am I ? : Dans la salle de danse ♥
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| Sujet: Re: Kim Xie You ◊ Sam 26 Déc - 21:52 | |
| Aaah tu nous fait une fille? :p On se trouvera un lien ne <3 Rebienvenue :D |
| | | Kim Xie YouJ
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| | | | Ahn Ji DiJS
Humeur : Lunatique.
Where am I ? : Beuuuh i'm here, dear :)
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| Sujet: Re: Kim Xie You ◊ Dim 27 Déc - 1:07 | |
| Ben welcome :D Amuse toi bien, hum? ^^ |
| | | Choi Seong Jooe v i l m o d o
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| | | | Kim Xie YouJ
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Humeur : Pourquoi ce devil est comme ça avec moi TwT
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| | | | Ahn Bo Hyunp i m p a d m i n
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| Sujet: Re: Kim Xie You ◊ | |
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C’est avec joie et fierté que je vous annonce le début de cette nouvelle année. Paix, bonheur, amour, argent et tout le blabla habituel qui se dit chaque année, mais surtout de l’action. Parce que franchement chers élèves, vous me décevez, je n’ai pratiquement rien eu de croquant à me mettre sous la dent pour me délecter des nouveaux arrivants dans notre institut. J’ai dut me tromper quelque part puisque, vous n’êtes pas aussi intéressants que je l’aurais cru. Non en fait je mens, je sais parfaitement que vous êtes tous de vrai obsédés, des malfrats, des crétins bon à l’école, des fous, des hypocrites, des fêtards. Pourtant, dans tout ce que je viens de nommer, rien ne vient à mes oreilles. Je n’ai absolument aucun fait pour accentuer mes paroles. Pour le moment, vous restez que des égoïstes qui gardent bien cachés leurs petits problèmes d’étudiants hormonaux. Vous me décevez sincèrement et j’ai bien l’intention de remédier à tout ça. Oh ! Ne me demandez pas comment, vous verrez bien lorsque tout arrivera. Quoi qu’il en soit, je ne peux qu’affirmer que cette école partira du bon pied en ce qui concerne l’année 2010 ! Ou du mauvais pied… tout dépend de la façon dont on voit la chose… c'est-à-dire dans votre peau ou dans la mienne. Tant pis pour vous bande de cachotiers, vous l’avez bien cherché ! Bon, je dois vous laisser, j’ai quelques coups de fil à faire et vous m’ennuyez profondément. J’aimerais quand même prendre le temps de vous indiquer que depuis quelques jours, vous l’aurez sûrement remarqué, il y a beaucoup d’agitation autours de l’enceinte. Peut-être que vous étiez trop occupés à faire vos prudes avec mon magnifique cadeau de bracelet tendance noël 2009. Aucune reconnaissance pshht. Je n’ai eu aucun merci d’ailleurs ! Enfin quoi qu’il en soit de votre impolitesse, prenez garde à vos arrières, il semble qu’il y ait un homme dans la trentaine qui parcoure les couloirs. La sécurité à tenté de le chasser mais… j’en ai décidé autrement. Il est beaucoup trop louche pour ne pas le laisser en liberté avec vous tous ! …. Merci et … bonne année ! NAVIGATION T O P . F R I E N D S ; ♥ more | you? |