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| | Miss Ji n'a pas froid aux yeux. | |
| Auteur | Message |
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Ji Eun AhSS
Age : 36
Humeur : Taquine.
Messages : 32
| Sujet: Miss Ji n'a pas froid aux yeux. Mer 6 Jan - 0:12 | |
| FEAT Park Gyuri (Kara) Prédéfini: Oui/Non
| Ji Eun Ah
Étudiante en Sciences politiques.
04 janvier 1988 ; 22 ans. Sojunghan. |
« impulsive, caractérielle, susceptible, ouverte, sarcastique » It's all about me. . . ▬ VOTRE CARACTÈRE;
Capricieuse, Eun Ah laisse souvent sa conduite se soumettre à cette partie peu plaisante de sa personnalité. Elle s'est entichée de tout ce qui brillait alors qu'elle n'était pas encore plus haute que trois pommes, et notamment de sa condition, qui la place naturellement, selon son entourage, au-dessus de tous les autres. C'est sans difficultés qu'elle appropria cette façon de pensée, ainsi que cette fâcheuse tendance à réclamer sans cesse, pour obtenir sans plus attendre. Rien d'étonnant à cela me direz-vous, n'a-t-elle pas tout d'une princesse, d'une de ces jeunes filles élevées dans de la soie, pour ne rien devenir d'autre qu'une reine ? C'est exactement ce qu'elle vous répondra si, un jour, vous vous avisez de lui faire la moindre remarque quant à son comportement. Un brin hautaine peut-être. Et alors ? Elle peut bien se le permettre, après tout, on ne croise de filles comme elle à tous les coins de rue.
Dire d'elle que c'est une égoïste serait sans doute exagéré. Elle se préoccupe des autres, et surtout de ceux qu'elle apprécie, mais à sa manière, et il serait peu dire d'affirmer que ce n'est pas la meilleure. En effet, dès qu'il s'agit de sentiments autres que la haine ou le mépris, elle a bien du mal à mettre un pied devant l'autre. C'est ce qui fait qu'on peut la trouver éminemment mignonne lorsqu'elle tente de vous dire qu'elle vous apprécie, vous aime même, sans pouvoir retenir son sang de monter à ses joues. Il est bien plus probable qu'elle finisse pas s'énerver, et qu'elle vous envoi vous faire voir ailleurs, avant que vous n'ayez eu le fin mot de l'histoire, et obtenu enfin cette preuve d'affection tant espérée. Espérée oui, car, qui l'eut cru, la demoiselle sait se faire apprécier, malgré sa langue acérée et cette fâcheuse habitude d'exiger sans cesse l'impossible, et plus rapidement que le vent, s'il vous plaît. On s'y attache, à cette petite boule de nerfs, en perpétuel mouvement, pas mignonne pour un sou, mais qui saura vous ôtez cette imagine d'impossible diablesse qui pourrait bien d'être ancrée en vous lors de votre première rencontre. Son sourire en ferait perdre la tête à plus d'un, surtout lorsqu'elle daigne le teinter de cette douceur et de cette gentillesse, qui ne font décidément pas partie des caractéristiques qu'on lui attribuerait au départ. Mais comme tout le monde, elle a besoin de douceur, et peut très bien en dispenser lorsqu'elle se sent d'humeur. Câline à ses heures, ce sont ces moments là qui, malgré tout, font qu'on s'attache à cette mégère.
Car sans être méchante, elle est avant une femme de caractère, dotée d'un humour désagréable pour tout ceux qui en on déjà fait les frais. Rancunière en plus d'être susceptible, ne vous avisez pas de vous moquez ou de lui marcher sur les pieds, vous ne vous en remettriez sûrement pas. Si elle n'était pas si coquette, on l'aurait volontiers classée parmi les garçons manqués, et sans qu'elle n'en laisse rien paraître, cette brutalité qui la compose la dérange. Sans cesse à la recherche de ce côté ultra féminin qu'elle se devrait posséder, elle s'est un jour aventuré dans le lit d'une de ces femmes qu'elle admire sans rien en dire. L'expérience fut traumatisante, découvrant dans le même temps qu'on ne trouvait pas seulement le plaisir entre les mains d'un homme. Eun Ah en sortit bien plus tolérante qu'autrefois, et sait garder une ouverture d'esprit qu'on ne penserait jamais trouver chez quelqu'un d'aussi capricieux. Une petite princesse donc, au cœur qui n'est certes pas fait de pierre, mais qui semble des plus difficile à percer. Eun Ah ne s'attache pas facilement, et semble seulement craindre, au fond, qu'on ne la laisse seule avec elle-même. Mais n'allez pas croire qu'elle facilitera la tâche à tous ceux qui veulent bien aller voir de plus près : adepte du sarcasme, elle n'hésite pas à pointer du doigt les défauts de quiconque, sans pour autant apprécier qu'on fasse de même avec elle.
▬ EXEMPLE RP/HISTOIRE âme sensible s'abstenir (=
- Spoiler:
“Everyday, I feel his breath on my skin, on my flesh. He is like blood. Blood in my veins. He runs in them, he crashed on my heart, he lives in my soul, in my spirit. He lives in me since always. I do not know who he is, who I am when I am with him. He is like blood, and blood attracts me. He makes me mad. He makes me feel alive, even if I am dead, even if I am just a cold corpse. A fool. I can not say what I feel. I do not want to say it. But I know. I know he possesses my heart, my soul, my minds. Blood. Blood. Blood. I do not care blood, I just want to lose myself in lust. Let me be a sinner, the worst sinner in this world.”
Je ferme les yeux, mais ne parviens pas à trouver le sommeil. Les clowns ne dorment pas, les clowns n’ont pas besoin de dormir. Pourtant, mes songes me manquent. Songes teintés de rouge, d’autant d’amour que de cruauté. Pour une fois, maman avait une raison de hurler. Je sentais encore la lame entailler mes paumes, j’entendais encore le rire du clown qui n’avait jamais ri. Sa main sur mon poignet lorsqu’il me tirait hors du noir. Mes songes me manquent, et celui là en particulier. Pourtant, il m’est impossible de regretter ma vie d’avant, cette vie où j’étais si différent. Parmi eux, je me sens presque normal, même si j’aime cette impression de vivre ailleurs. De ne vivre que dans ma tête. Les yeux fermés, je voyais encore le rouge qui tapissait les murs du repaire. Certains auraient appelé ça une chambre, pour moi, pour nous, c’était toute autre chose. Cette pièce avait une âme, une âme aussi rouge que ses murs. On y respirait le sang, où que l’on soit. L’odeur de la chair malmenée s’était incrustée dans chaque objet, dans chaque tissu. Mais il n’y avait que nous pour percevoir tout cela, nous pour l’apprécier. J’en aurai presque goûté tous les meubles, juste pour m’imprégner un peu plus de cette poussière d’hémoglobine qui nous entourait. Il fallait être fou pour aimer cette pièce, malsaine jusqu’aux tréfonds de son âme de bois et de pierre, il fallait être aussi sale qu’elle l’était elle-même. Et nous l’étions.
“We can feel all these nights in us, all these strange feelings, dark and dirty. But they seem so beautiful when they shine on you, I accept to become insane with the gleam of your eyes. I want to.”
Il y a ces cris provenant de la pièce attenante, qui font parti du paysage. Ils sont presque inaudibles, mais si doux à l’oreille exercée. Je n’ouvre pas les yeux, j’imagine le rouge qui recouvre le rouge, qui coule lentement le long du mur et laissera sa trace indélébile. Le souvenir éternel de nos victimes, prisonnières de nos murs même après leur mort, que toutes pensaient salvatrice. Et pourtant. Je ne crois pas au Paradis. Je ne crois qu’à l’Enfer sur terre, et au néant. Il y a la douleur de naître. La souffrance de vivre. La mort, qui en un mot résume tout le mal qu’elle peut nous faire. Le sang s’évapore, alors c’est la pourriture du corps. Et l’homme est oublié. Personne n’a jamais vécu dans un cœur, dans des pensées. Les photographies jaunissent, on les change. On nous pensait à peine, vivant, on préfère nous écarter, mort. Et moi je suis mort, mort depuis des siècles même si je ne vis que depuis peu de temps. Je ne suis pas fait pour cette époque, pour ces pensées. Pour ce monde. Peut-être ne suis-je fait pour aucun d’entre eux. Il n’y a que dans ma tête que je me sens chez moi. Et je me nourris du sang d’autrui, autrui qui ne signifie rien, qui me hait et que je déteste tout autant. Je laisse un sourire poindre aux coins de mes lèvres : j’aime cette lueur dans le regard de mes jouets, celle qui exprime toute leur rancœur, tout leur dégoût. Je le mérite, oh oui, amplement. Et je n’en attends pas moins de tous ces gens qui ne valent jamais autant qu’ils le pensent. Ils vivent tous dans leur tête, comme moi. Leur vision est faussée, mais ils n’en ont pas conscience. Leur vie est un jeu dont ils pensent connaître les règles, alors qu’ils ne font qu’avancer des pions au hasard. Moi, moi je sais où aller, où jeter les dés. J’écris mes propres règles, et gagne toutes les parties. La vie et la mort ne m’effraient pas : ils font partis du jeu, qui n’en devient que plus excitants encore. Je ne dis pas que j’ai envie de mourir, non, loin de là. La donner est bien plus agréable. Cette impression de contrôle absolu, savoir que la victime est à notre merci et qu’elle le sache aussi, le lire dans ses yeux, avoir son sang sur les mains. Peu de choses sont aussi délicieuses.
“It is not like you killed someone. It is deeper. It is an other pleasure. Better. Stronger. An understanding feeling, trapped between heart and flesh. I did not know that I could ever feel this. I did not know that I could ever feel something.”
Je souffrirai presque pour cette âme en pleurs dans l’autre pièce. Presque. Je ne méritais pas cela. Voilà ce qu’elle pense, tout bas. Je ne méritais pas cela. Mais que méritons-nous réellement ? Ils étaient tous, tous, si prévisibles. Ils n’étaient même plus drôles, finalement. C’est pour cela que j’aimais tant l’hypnose. Quel homme ne souhaiterait-il pas un tel pouvoir de séduction ? De soumission. Ainsi elles faisaient tout et n’importe quoi. Les faire se taillader les veines, se meurtrir les chairs, les faire hurler, pleurer, gémir. Et tout ce vide dans leurs yeux, qui devenaient alors le réel miroir de leur âme, aussi vide et aussi laide. On pourrait presque croire que la mienne est belle. Je souris dans mon pseudo sommeil. Je n’ai toujours pas ouvert les yeux, et je goûte encore au noir qui habite la pièce. Ici au moins, j’ai retrouvé mon ami fidèle, celui qui m’a toujours attendu dans la cave. Je tends une main, et il s’en saisit, la presse dans toute son immensité. C’est rassurant le noir. C’est simple. Avec lui rien n’est souillé, rien n’est pur, rien ne vit, rien ne meurt. Il y a juste le noir, le néant. On peut s’y faire mal, on peut s’y faire peur. On peut s’y sentir bien, aussi. Peut-être est-ce lui que je cherche tant en fermant les paupières, et non mes chimères passées, ma folie meurtrière. Mais non, non je sais bien ce que je cherche. Je cherche la morsure de la lame sur ma paume, la fugitive douleur qui transperce tout le corps, et la sensation du sang qui s’écoule. Brusquement, je me redresse, les yeux grands ouverts. Il fait sombre, sombre. Je sais où chercher, je sais comment me contenter. Même si ce n’est jamais pareil. Même si ça ne fait jamais autant de bien qu’après mon rêve. Je rampe et m’écarte du lit, trop grand pour un seul corps, et ouvre les tiroirs, ouvre les placards. Il m’en faut un. Un. Maintenant. Un de mes poings se serre tandis que l’autre cherche. Il m’en faut un. Lorsque je le brandis enfin, je souris. Un sourire triomphant, inhumain. Effrayant. Un rire nerveux me prend, que j’étouffe alors qu’il n’est encore qu’à la naissance de ma gorge. Je ne peux empêcher un rictus de se peindre sur mes lèvres, alors que mes yeux ne quittent plus les reflets d’argents de la lame.
“It is not like you killed someone.”
Ma paume scarifiée reçoit avec soulagement une nouvelle plaie. Je la fais profonde, qu’elle soit douloureuse. Et je respire enfin. La chair écartée me brûle, et je pose le couteau à mes pieds. Je me suis laissé tomber sur le sol sans m’en apercevoir. Il y a comme un voile blanc devant mes yeux, comme un vertige qui me prend dans tous le corps. C’est délicieux. Je regarde toujours le sang qui s’écoule. J’entrouvre ma chemise, et pose ma paume souillée sur mon torse, là où je peux sentir les pulsations rapides de mon cœur. Un rictus déforme toujours ma bouche, et ma main remonte lentement le long de ma gorge, suit la ligne de ma mâchoire, jusqu’à mon front. Lorsque je la laisse retomber, j’ai le goût du cuivre dans la bouche. La pièce respire le sang, et m’en remercie. Les cris ont cessé à côté, et je ne m’en suis pas aperçu. Le bruit d’une porte qui s’ouvre me ramène à mes songes, et je sais qu’en me retournant je verrais de nouveau ce clown. « Tu vas la tuer ». Le sang coagule sur ma paume, ce n’est plus aussi bon, plus aussi douloureux. La tête basse, je guette le bruit de ses pas, et lorsqu’ils se font entendre, je souris à nouveau, même si ça ne fait plus aussi mal. Et finalement, toujours assis sur le sol, un couteau ensanglanté à mes côtés, tâché de sang jusqu’aux tréfonds de mon âme, je tourne la tête vers lui.
▬ VOS RELATIONS
Dire d'elle qu'elle est très entourée serait faux, néanmoins, la jeune femme est assez populaire pour posséder sa petite cour d'admirateur. Jeune, belle et riche, elle attire bien des convoitises et en est plus que consciente. Jouant beaucoup de son statut, elle semble entretenir avec soin toutes ces relations superficielles et sans lendemain, fuyant presque ceux qui pourraient devenir de réelles amis. La confiance ne se donne pas facilement, et c'est une chose dont elle fait régulièrement l'expérience, bien qu'elle ne soit pas sans appui. On a, après tout, tous besoin d'un peu de compagnie et de mots sincères. Quant à ses mœurs plus... intimes, les femmes ont sa préférence, mais jouer avec les hommes est un plaisir quotidien dont elle ne peut résolument pas se passer.
▬ PSEUDO; Joo multiplié par deux. ▬ ÂGE; 18 ans. ▬ AVIS, SUGGESTIONS, COMMENTAIRES ?; n'aime é.è ▬ PRÉSENCE SUR LE FORUM; bien trop connectée pour ma santé. |
| | | Shim Soo HunES
Age : 33
Humeur : Blasé et parano.
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| Sujet: Re: Miss Ji n'a pas froid aux yeux. Mer 6 Jan - 0:49 | |
| J'ai flashé sur l'avatar. Bienvenue une seconde fois, alors ;) |
| | | Lim Sa RangGS
Age : 34
Humeur : Soumise u__u (profiteur, à vos gardes è___é)
Where am I ? : In your heart, sweety n.n
Messages : 383
| Sujet: Re: Miss Ji n'a pas froid aux yeux. Mer 6 Jan - 0:54 | |
| *O* Mon playboy de mon coeur <3, mon bourreau à moi éè Re-bienvenue ^-^ |
| | | Choi Seong Jooe v i l m o d o
Age : 34
Humeur : Généreuse.
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| | | | Go Ha NeulSS
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Humeur : Pétillante ♪
Where am I ? : Dans la salle de danse ♥
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| | | | Ji Eun AhSS
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Humeur : Taquine.
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| Sujet: Re: Miss Ji n'a pas froid aux yeux. | |
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| | | | Miss Ji n'a pas froid aux yeux. | |
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C’est avec joie et fierté que je vous annonce le début de cette nouvelle année. Paix, bonheur, amour, argent et tout le blabla habituel qui se dit chaque année, mais surtout de l’action. Parce que franchement chers élèves, vous me décevez, je n’ai pratiquement rien eu de croquant à me mettre sous la dent pour me délecter des nouveaux arrivants dans notre institut. J’ai dut me tromper quelque part puisque, vous n’êtes pas aussi intéressants que je l’aurais cru. Non en fait je mens, je sais parfaitement que vous êtes tous de vrai obsédés, des malfrats, des crétins bon à l’école, des fous, des hypocrites, des fêtards. Pourtant, dans tout ce que je viens de nommer, rien ne vient à mes oreilles. Je n’ai absolument aucun fait pour accentuer mes paroles. Pour le moment, vous restez que des égoïstes qui gardent bien cachés leurs petits problèmes d’étudiants hormonaux. Vous me décevez sincèrement et j’ai bien l’intention de remédier à tout ça. Oh ! Ne me demandez pas comment, vous verrez bien lorsque tout arrivera. Quoi qu’il en soit, je ne peux qu’affirmer que cette école partira du bon pied en ce qui concerne l’année 2010 ! Ou du mauvais pied… tout dépend de la façon dont on voit la chose… c'est-à-dire dans votre peau ou dans la mienne. Tant pis pour vous bande de cachotiers, vous l’avez bien cherché ! Bon, je dois vous laisser, j’ai quelques coups de fil à faire et vous m’ennuyez profondément. J’aimerais quand même prendre le temps de vous indiquer que depuis quelques jours, vous l’aurez sûrement remarqué, il y a beaucoup d’agitation autours de l’enceinte. Peut-être que vous étiez trop occupés à faire vos prudes avec mon magnifique cadeau de bracelet tendance noël 2009. Aucune reconnaissance pshht. Je n’ai eu aucun merci d’ailleurs ! Enfin quoi qu’il en soit de votre impolitesse, prenez garde à vos arrières, il semble qu’il y ait un homme dans la trentaine qui parcoure les couloirs. La sécurité à tenté de le chasser mais… j’en ai décidé autrement. Il est beaucoup trop louche pour ne pas le laisser en liberté avec vous tous ! …. Merci et … bonne année ! NAVIGATION T O P . F R I E N D S ; ♥ more | you? |