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Wonnie s'était levée ce matin à 10H, tranquillement. Elle avait encore trois jours avant de commencer les cours. Elle avait balancée son coussin en forme de chat contre son réveil ( en forme d'œuf =.=) Elle avait poussée sa couverture noir avec des poils et s'était levée. Elle était debout devant son lit, les bras ballants la tête baissée. Elle se balançais à un rythme imaginaire. Elle leva brusquement la tête au bout de 10 longues minutes et s'étira vivement puis sourit d'un air indéchiffrable puis marcha droit jusqu'à la salle de bain. Elle pris en sortant de la salle de bain, dans son armoire un jean's tout troué avec trois pin's sur la jambe droite, bleu clair. Elle enfila un tee-shirt en V blanc qui lui retomba sur ses petite hanches. Elle enfila sa veste en cuir noir et mis son chapeau en laine tout doux blanc. Elle se pressa d'enfiler ses ballerines ( ce qui lui faisait de tous petits pieds) Elle pris au vol son sac à main et sortit en dehors de sa chambre. Elle erra jusqu'à l'arrêt de bus direction la ville.

Arrivée en ville elle se laissa planer sur les rythme des musiques de son I-pod. Elle marcha sans savoir quoi faire. Elle s'arrêta plusieurs fois devant des pâtisseries. Elle était en extase devant une série de moelleux au chocolat. Elle sortit son porte monnaie de son sac... Elle regarda sa carte de crédit. Depuis déjà quelque temps qu'elle l'avait, elle ne l'avait utilisé que pour acheter de la nourriture ou un coussin en forme de chat. Elle souria et entra dans la pâtisserie. Deux minutes plus tard elle en resortie, avec 2 gros paquets dans les mains. Dans le premier se trouvait 5 moelleux au chocolat et dans l'autre, 1 tarte aux framboise et 6 tuiles. Elle sentit fort ses paquets, puis toute contente, notre petite gourmande se dirigea vers...Tien, le stade. Il n'y avait pas eu de match depuis 3 semaines à ce qu'il parait. Elle se dit qu'elle y serais bien et tranquille pour s'empiffrer.

Arrivée au stade, elle entra par une porte de service sensée être fermée à clef. Elle longea les grands couloirs, la ou défilait tous footballeurs et autre manager. Elle trouva une porte menant à un escalier. Elle monta ce petit escalier quatre à quatre et se retrouva dans le milieux des tribus. Elle longea quelques siège. Elle évita , les morceaux de confettis mal nettoyer et des vieux panneaux qui se trouvaient par terre, avant d'arriver a un siège au milieu, et de s'y asseoir. Elle ouvrit le premier paquet qui contenait les moelleux. Elle souria et se dit bon appétit avant d'en prendre un et de basculer la tête en arrière pour l'avaler. Elle souria de plaisir et cria super fort comme à son habitude de fille dégénérée:

Wonnie : OWH MY GOWD !! IT'S DELICIOUS !!

Notre plus grand cerveau du XXI°siècle aurais pu le dire en Coréen ou encore en 7 autres langues, mais dès qu'elle est exsité et épanouis elle ne peut s'empecher de parler Anglais... Lorsqu'elle réussi une grosse équation et qu'elle n'est pas satisfaite, elle jure en Français...Enfin, Notre Tarée National ferma les yeux le temps de savourer ce délice...

Sei Woo se réveilla dans une chambre. Pas la sienne. Une fois encore. La pièce est vide, allez savoir où est passé l’autre. Femme ou homme ? Peu importe, en fait, peu probable qu’il la ou le revoit. Il se relève, ses affaires sont éparpillées un peu partout dans la pièce. La lumière, au travers des stores, lui crame la rétine, il a l’impression que sa tête va exploser. Il plisse les yeux et regarde autour de lui. La brûlure dans son crâne ne fait qu’augmenter. Son corps est lourd. Il a soif. Sur le sol une ribambelle de cachet s’étalait.

Sei Woo se lève, la chambre tangue, il se rattrape à une commode. Le jeune héritier se dirigea vers la salle d’eau, la pièce est crade. Il termine à genoux devant la cuvette des toilettes, le contenu de son estomac au fond de la cuvette. En arrière plan son portable sonne, sa tête vibre. Une nouvelle vague nauséeuse, l’assaille. Il se relève après avoir fini de vomir les reliquats de son dîner de la veille. La glace lui renvoie un visage fatigué, son teint est blanchâtre sillonné de larmes séchées crasseuses, ses yeux gonflés et rouge. Son portable sonne à nouveau. Il retourne dans la chambre et attrape ledit portable et décroche.

- Allô ? Allô ? Personne au bout de la ligne.

Personne ! Il raccroche, de toute manière il n’aurait pas été en état de tenir une conversation cohérente. De retour dans la salle de bain, il se glisse dans le baquet. Douche salvatrice, Sei Woo savoure la sensation de l’eau sur sa peau, il reprend pied petit à petit. Sa soirée reste floue, mais l’essentiel c’est qu’il n’ait pas été photographié par un paparazzi dans cet état. Il a bu, beaucoup, trop sans doute. Il a mélangé l’alcool aux antidépresseurs et aux amphéts. Il s’est envoyé en l’air aussi apparemment. Sei Woo secoue la tête, il faut qu’il appelle son majordome.

Le jeune homme coupe l’eau et sort de la douche, enroule une serviette autour de lui et sort de la salle de bain. Il ramasse ses fringues abandonnées entre la porte d’entrée et le lit. Sa chemise a connue de meilleur jour, sa veste aussi. Il ouvre l’armoire.

"Fille, réalise-t-il. Tant mieux j’aurais moins d’emmerde."

Le jeune coréen attrape une chemise blanche. Un dernier coup d’œil dans la glace, il a retrouvé un peu de sa superbe.

Sei Woo referme la porte de l’appartement, abandonne la clef au gardien de l’immeuble et laisse enfin derrière lui, la nuit précédente. Il sort une cigarette de la poche intérieure de sa veste, l’allume et tire une latte. L’apport matinal de nicotine, la rassérène, pas besoin de faire le grand saut pour se sentir mieux, une petite mort lente et pernicieuse. Il est accros à la nicotine, c’est bête à dire et stupide à faire pour une personne qui comme il sait pertinemment que ce n’est signal envoyé par son cerveau complètement imbibé et qui réclame sa dose. Un signal de drogué en manque, un signal trompeur. Mais peut-être qu’il souhaite être trompée ?

Le fond de l’air est frais mais pas désagréablement froid pour ce mois de novembre. Il se fond dans la foule, ses pas l’emmènent vers son refuge, le seul endroit où personne n’ira le chercher, les tribunes du stade. Il pense vaguement qu’il ferait mieux de rentrer chez lui et de contacter son majordome mais n’arrive pas à s’y résoudre. Il veut juste qu’on l’oublie pour une fois.

Il a somnolé, combien de temps il n’en sait rien. Un cri l’a réveillé. Il se relève des sièges où il s’était allongé et remarque une jeune fille assise deux rangs plus bas. Elle savoure quelque chose, la simple idée de manger lui soulève le cœur.

- Ça te prend souvent de hurler comme ça ? Demande-t-il entre amusement et exaspération.

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- Ça te prend souvent de hurler comme ça ?

Wonnie stoppa net. Les yeux grands ouvert, un bou de moelleux dans la bouche. Elle l'avala directement au manque s'éttouffer elle commança à tousser méchament. Elle se leva de son siège, faillit basculer en arrière mais se rattrapa au siège de devant. Elle regarda autour d'elle, toujours ses grands yeux ouverts. Elle posa son moelleux avant d'en reprendre une bouchée, et se mis en position de combat. Plus précisément en position de boxe Thai. Toujours le regard furetant elle ne savait d'où venait cette voix masculine qui l'avait surprise. Elle croyait être enfin tranquille. Après sa journée d'hier, un long moment seule ne l'aurait pas déplus, mais today, sa ne devait pas se passé comme sa. Elle cligna des yeux plusieurs fois puis, la bouche pleine, elle parla haut et fort.

Wonnie: Qui Chey Quey Loa ? {Qui est-ce qui est là?}

Elle pivota à droite et resta planté là sans bouger. Un garçon se tenait légèrement relevé et la regardait l'air de se foutre d'elle. Il avait l'air endormi et avait une tête de déterré. Lui, il a fait la fête. Cela lui rappella la veille de son RDV avec Yu Ri, elle avait trop fait la fête avec son jumeau et ses amis, elle avait tellement bu qu'elle avait passé ses 2h de sommeille au dessus de la cuvette. Elle avala durement son chocolat en y repensant. Tout cela pour en conclure, que le jeune homme avait du bien faire la fête vu la tête qu'il avait. Wonnie réprima un rire en voyant les yeux du garçon. Elle détourna le regard et ne pu s'empêcher de rire un quart de seconde.

Ses yeux, le nombre de fois qu'elle les avait eu. Rien qu'a voir, la tête du garçon cela lui coupa qu'a moitier l'appétit. Enfin je dit bien qu'à "moitié". Elle est trop gourmande pour...Attendez.. C'est pas une chemise de femme qu'il a ? Sa y est. Wonnie éclata de rire. Elle en avait les larmes au yeux, elle s'assit sur le siège tout en regardant le garçon. La situation typique du Bad Boy Dragueur. Il avait fait la fête, c'était bourée la gueule et avait finit au lit avec une femme ET... Il se réveille tout seul. Wonnie doit bien avouez que pas mal de ses amis son comme tel. Enfin Wonnie se calma peut a peut et arrêta de trop penser un moment et s'exclama gentillement toujours une pointe d'amusement dans la voix:

Wonnie: « Omo...pf...Euh... oui..Ahem excusez moi...pf..*toussote*»

...

Non Wonnie n'est pas sadique. Je vous jure que non. Mais bon si elle a fait sa c'est...juste comme sa hein ! Bon j'explique la scène, Wonnie prend un moelleux au chocolat saute les 4 rangs qui les séparaient ( avec qui dire-est-je une très bonne agilité). Là elle arrive pile devant le garçon. Bon déjà il doit faire 3 tetes de plus qu'elle, c'est pas sa faute si elle est petite hein! Et là, plus fort qu'elle,, elle lui temps le gateau sous le nez et lui dit d'une voix enfantine:

Wonnie: « Je m'appel Moon Hee Won, tu veut un gâteau? » Dit-elle tranquillement. « Appel moi Wonnie :-D»