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| Entre secrets&poubelle. Le choix est dur | Bo Hyun | |
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Song Min SugS
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| Sujet: Entre secrets&poubelle. Le choix est dur | Bo Hyun Ven 6 Nov - 14:47 | |
| Il était encore trop tôt, ou bien sûrement très tard, mais Min Su rentrait enfin. Vu l'heure avancé, il était sûrement en train de rater une bonne partie de sa nuit. Lui qui aimait dormir. Il se cala sur le siège, posant son blouson sur celui d'à coté, vide. Au moins, il pourrait commencer sa nuit tranquillement sans quelqu'un à coté de lui pour le réveiller à tout bout de champ. S'il aimait les câlin et les bras chaleureux d'une personne, il aimait aussi dormir seul et sans ronflement pour chambouler ces rêves. On ne sait jamais, si c'est un inconnu ronfleur qui viendrait. Il posa sa tête contre la vitre, regardant un moment à l'extérieur avant de sentir ces yeux papillonner et... se fermer pour de bon. C'est à ce moment là que les songes l'emportèrent, loin dans ce pays imaginaire. C'était doux, c'était chaud, c'était un contact permanent dès qu'il s'y laissait reposer. On y vie paisiblement, et son visage décontracté le prouvait bien. C'est avec une légère secousse qu'il se réveilla, sa tête percutant légèrement la vitre contre laquelle il était posé. Il ouvrit faiblement les yeux, grimaçant en se soucient de la lumière des lieux. Eteignez les lumières ! « Dernier arrêt.. » Il n'écouta pas la suite que, déjà, il se levait en hâte de son siège, attrapant son blouson pour sortir avec précipitation. Comment ça 'dernier arrêt' ? Il était où là ?
Perdu, il dévala les quelques petites marches du moyen de transport qui l'avait fait se perdre, cherchant de ces yeux un plan. Quand il l'eut trouvé, il s'y dirigea, essayant déjà de savoir où il se trouvait à l'aide d'une petite flèche rouge. Bon, on est pas perdu, tout les chemins mènent à Rome comme on dit. Ça main caressa la grande carte murale, sa langue prisonnière de ces dents, réfléchissant avec minutie au chemin à prendre pour retourner dans son propre lit. u_u Il avait sommeil là. Il glissa son blouson sur ces épaules, glissant ces mains dans ces poches. Nee ! Plus de portable TT Raaah, soit il l'avait perdu, soit on le lui avait volé. Dans tout les cas, rien ne s'annonçait de bon. Un gémissement plaintif s'échappa d'entre ces lèvres tandis qu'il jetait un coup d'oeil à gauche, puis à droite, les chemins étaient pratiquement désert à quelques voyageurs prêt, rare était la population à bientôt 4h du matin. Il ne faisait même pas jour encore, quoi que là, il n'en savait rien vu qu'il se trouvait encore dans le métro. Il emprunta la voix de droite, arpentant avec précision le couloir qui s'étalait devant lui, grimpa quelque marche pour tourner à gauche. Il détestait ces situations là, détestait ces faiblesses, détestait quand il était seul dans un endroit aussi inconnu. Quelle idée de dormir de cette façon ? Il resserra son blouson contre lui, apeuré et l'air légèrement inquiet. Ah, y'a quelqu'un là bas ! Dès qu'il aperçut cette ombre, il accéléra le pas, pour s'en approcher, mais une fois l'inconnu plus tout à fait si inconnu, il se stoppa. Pas lui ! Tout mais pas lui ! Il ne fallait absolument pas qu'il le voit. Cet inconnu qu'il avait de nombreuses fois épiés, par curiosité d'en savoir plus sur lui. Jouer à l'agent secret, ça lui plaisait. Mais là, il n'avait pas du tout envie de jouer, plutôt d'éviter ce garçon qui venait droit dans sa direction et qui ne devait pas encore l'avoir vu. Il jeta un fébrile regard à ces cotés et se jeta au coté d'une poubelle, à demi caché par cette dernière. Il fallait encore qu'il sache être discret. Il posa sa main sur sa bouche, stoppant sa respiration, pourvu que l'autre passe vite qu'il puisse reprendre de l'oxygène. Agent secret, tu vas finir par perdre ta mission. Au pire, il te prendra pour un clochard et passera son chemin sans te détailler du regard et te reconnaître.
Pourquoi Min Su avait si peur ? Parce que cette personne était son héros, celui pour qui il vouait un culte. Il lui avait sauvé la vie, et n'avait jamais pu lui dire merci. Pour ça, il avait trouvé l'idée de ces petites voitures, offert sans un mot, sans une identité. C'était son secret, leur secret par la même occasion. Seul Min Su le savait, et Bo Hyun n'avait qu'à chercher, à moins qu'il ne le sache déjà. Il pourrait jouer l'ignorant et nier, de toute façon, il n'y aurait que ça à faire. Mais ce cacher, comme il le faisait à présent, ne présageait rien d'une innocence complète. Pourvu seulement que Bo Hyun ne s'en pose pas des questions. Terré contre cette poubelle, le visage pâle et la respiration coupé, il attendait, patiemment, que le blond passe son chemin, sans le remarquer, mais l'air lui manquait et il se devait de reprendre sa respiration, voilà pourquoi il osa, laissant échapper un soupir. Petit, si petit, mais qui pouvait s'entendre et changer tout le court de son plan. |
| | | Ahn Bo Hyunp i m p a d m i n
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| Sujet: Re: Entre secrets&poubelle. Le choix est dur | Bo Hyun Mer 11 Nov - 4:34 | |
| Un arrêt. Son regard se posa vers la jeune femme devant lui, habillée d'une mini-jupe qui lui arrivait à peu prêt... disons qu'elle était très révélatrice : un peu plus haut que la moitié des cuisses. Rien pour déplaire au blond, évidemment. Son style gothique ne le dérangeait même pas si on assumait le fait que ses courbes généreuses la pardonnait entièrement. Et donc son regard se posa inévitablement vers le visage de la jeune femme - qui lui aussi était très joli, d'ailleurs, sous cette tonne de maquillage noire. Musique punk à fond dans les oreilles. Il pouvait reconnaître le groupe de son siège ; c'est à dire, en face d'elle seulement. Deux arrêt. Elle le quittait déjà, laissant place à une femme beaucoup moins désirable cette fois, un peu grassette, mais qui, elle, le regarda avec un air affamé. Il se contenta de sourire et de tourner la tête, attendant patiemment qu'elle débarque. Trois arrêt. Voilà, les gens commençaient à s'en aller. Entre temps, il s'était fait une nouvelle copine. Une jolie blonde aux yeux bleus. Ah, une européenne sûrement, la classe. Ah non... elle partait elle aussi. Les stations défilaient, et au fur et à mesure que le temps passait, le wagon se vidait, le laissant seul. Jusqu'à ce que la dernière personne le quitte, le laissant dans sa pauvre solitude. Bo soupira, agacé. C'était toujours cool de prendre le métro sans aucune raison visiblement bonne de le faire sauf l'ennui total et le besoin de voir des gens de l'extérieur - de rencontrer, peut-être, des femmes plus matures que les petites minettes de l'université. Celles dans la tranche d'âge de vingt-cinq à trente ans étaient généralement les plus jolies, les plus matures, et, surtout, les plus bonnes. Autant le dire franchement. Et ça lui faisait toujours plaisir de voir que la femme mariée avec trois gosses avait envie de se faire un petit jeune encore en forme.
Bref, au final, le dernier arrêt de la soirée l'emmena à l'autre bout de la ville, bien loin de l'université. Rien pour déranger le blond, qui débarqua tout simplement à son tour, immobile à la sortie. À cette heure là, il n'y avait de toute façon pas beaucoup de gens. Ou plutôt, c'était désert. Il ne savait pas exactement l'heure en fait, mais ça, c'était un détail. La tête blonde fut bientôt cachée par sa capuche alors qu'il mettait ses écouteurs, la musique à fond. Il s'arrêta un instant, s'appuyant contre un mur, observant le dit métro qui repartait à toute vitesse. Il pinça les lèvres et baissa la tête, soupirant. Maintenant, mine de rien, il devait trouver le moyen de retourner vers l'université. Cette pensée le fit lever la tête, cette dernière se cognant durement au mur, causant ses traits à se transformer en une douloureuse grimace. C'était pas si mal que ça, non. Le problème était probablement qu'il n'avait pas vraiment pensé au coût d'un taxi puisqu'il n'avait apporté sur lui que l'argent nécessaire à payer un aller dans le métro. Évidemment, il n'avait pas été suffisamment intelligent pour le retour, ni n'avait emporté l'argent suffisante pour le dit taxi. De la marche, Bo ? Oui, oh oui. Il se décolla du mur et plongea son iPod dans sa poche, marchant, comme cherchant une personne qui pourrait l'aider. Embarquer avec un total inconnu ne semblait pas le déranger. Si jamais le dit inconnu lui demandait de l'argent, il n'aurait qu'à attendre un peu rendu à destination et il le paierait. Il fit quelques pas avant d'arracher ses propres écouteurs - pas sans une autre grimace - pour les ranger dans sa poche. C'est clair qu'il ne ferait pas bonne impression comme ça. Puis il s'arrêta à nouveau. Rien. Aucun bruit, personne. Personne pour l'aider.
Juste comme il allait rebrousser le chemin pour aller chercher en haut, un bruit lui parvint à l'oreille. Presque imperceptible. Soit il avait une très bonne ouïe, soit il hallucinait quelque chose à cause de l'heure qui se faisait tardive. Il haussa un sourcil et tendit l'oreille, plus attentif cette fois. Ah non, il n'avait pas halluciné, là. Il n'était pas débile à ce point franchement ! Il revint sur ses pas, plus précipitamment cette fois, cherchant où il avait entendu ce soupire. En fait, sa recherche ne fut pas très longue puisqu'il n'y avait pas réellement d'endroit pour se cacher où il se trouvait. Et il réalisa bientôt qu'il n'était pas seul. Donc ; il avait le choix. Soit c'était un itinérant qui s'était réfugié et caché là pour ne pas se faire jeter à la rue, soit c'était un malade qui le suivait et l'attendait couteau à la main. Fin horrible pour le prince des Jinsil, mais il éviterait la marche. Quelle vision des choses étranges. Ses yeux roulèrent d'eux-mêmes alors qu'il se penchait lentement pour regarder derrière la poubelle. Sa première réaction fut d'écarquiller les yeux. La deuxième, d'hausser un sourcil. Puis en troisième il s'accroupit face à ce qui se cachait derrière la poubelle et ne put empêcher un rire nerveux. Et lui qui s'était fait des films un bon deux minutes - bon, peut-être pas, mais ça avait paru tout comme. C'était un élève de l'université, tout simplement.
Mais pas n'importe quel élève. Non non, il le reconnaissait. Bon... dire son prénom, il n'aurait pu, après tout il n'était pas Dieu et ne savait pas le prénom de tous les élèves de Kyung-Hee. C'était assez impossible de faire ça, même en tant que chef. Mais il se rappelait parfaitement l'avoir sauvé d'un tragique accident qui aurait pu causer sa mort. Et lui aussi, avait fait de même, d'ailleurs. Rencontre plutôt étrange. Mais comme Bo croyait dur comme fer que rien n'arrivait pour rien, pas complètement impossible. Il releva la tête et fit retomber sa capuche sur ses épaules, le regardant avec un air perplexe. Comment devait-il prendre la chose ? Il se cachait de lui ? Ou de quelqu'un d'autre ? Ou peut-être qu'il l'avait prit pour un dangereux tueur, ne l'ayant pas reconnu ? Mais... tout en restant modeste, qui de Kyung-Hee ne reconnaissait pas Bo ? Comme s'il craignait lui aussi, il parla à voix toute basse. ▬ Y'a quelqu'un qui te poursuit, dis donc ? Tu m'as presque fait peur. |
| | | Song Min SugS
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| Sujet: Re: Entre secrets&poubelle. Le choix est dur | Bo Hyun Mer 11 Nov - 13:56 | |
| Sans buit, silencieux et discret, Min Su tentait vainement de rester immobile derrière la poubelle qui le cachait, ou qu'il croyait le cacher. Les pas se rapprochaient dangereusement, l'obligeant à se terrer un peu plus, agneau apeuré du loup. Ces mains s'était un peu plus crispé sur son ventre, resserrant son blouson qui le recouvrait, rentrant un peu plus sa tête dans les épaules comme si sa doudoune à la capuche de fourrure pourrait le cacher complètement aux yeux de tous. Il ferma les yeux, baissant légèrement la tête, comme si ce moyen lui permettait de devenir invisible. Les pas s'étaient stoppé mais un curieux pressentiment le força à ouvrir les yeux pour se retrouver pratiquement nez à nez avec le blondinet qu'il évitait soigneusement depuis tout ce temps. Il en sursauta légèrement. Surprise. Ces mains se posant sur le sol tandis qu'il se poussait un peu plus contre le mur, s'y cognant. ▬ Y'a quelqu'un qui te poursuit, dis donc ? Tu m'as presque fait peur. Su étouffa un léger rire, nerveux, jaune, peu rassurer. Un coup d'oeil à droite, puis à gauche, lui permit de savoir s'ils étaient seuls. La réponse était positive. Aucune autre personne pour le tirer d'affaire. Non pas qu'il avait peur de Bo, au contraire, il avait plus peur des paroles de ce dernier que des gestes meurtriers qu'il pourrait avoir. Quoi qu'il ne ressemblait en rien à un assassin, il l'avait bien sauvé une fois. D'où le culte que lui vouait Su. C'était indéniable, ce blond arrivait à le devenir toute chose, vous savez, un peu comme un fan qui se retrouverait devant son idole, apeuré, intimidé. Ces joues prirent une légère teinte rosé tandis qu'il daignait se relever, se hissant contre le mur à l'aide de ces mains, restant le plus éloigné possible de Bo. Il y a quelque chose qui clochait. Laquelle ? Cette petite voiture dans la poche de sa veste. Il en gardait toujours une sur lui, au cas où il croiserait Bo, la déposer sans se faire voir, la lui laisser en cadeau, comme il l'avait fait avec toutes les autres, sans que Bo ne sache qui en était le propriétaire. Là, il l'avait gardé pour le reste de la journée, mais il n'avait pas croisé Bo, sauf maintenant, mais étant donné que Bo était face à lui, et lui parlait, il se voyait mal lui laisser une voiture sans se faire connaître. Il saurait tout de suite que le généreux donneur de ces voitures, c'était lui.
- Je faisais juste une pause.
Comme excuse, tu aurais pu trouver mieux, franchement. Ne se félicitant pas, il détourna le regard pour avoir une vue large sur le passage. Par où fuir ? La gauche et retourner au métro ? Ou a droite et tenter de trouver la sortie ? Incapable de se décider, il restait planté là, face au blond, l'air plus paniqué que jamais, glissant sa main dans sa poche et serrer discrètement cette petite voiture, à s'en blesser la main. Une légère grimace étira ces fins traits, tandis qu'il desserrait un peu ces doigts du petit objet il avait juste besoin de penser à autre chose, alors pourquoi ne pas se faire mal ? Taré ? On peut dire ça comme ça. Parfois, Su aurait été bon pour être interné à l'asile. Bien sûr, ce n'était pas le genre à se mutiler non plus, sauf dans de rares occassion bien effrayante pour lui, comme à l'instant. Avec ces crises de colère, ces crises de mutisme. Pourtant parfaitement calme d'apparence, il reporta son regard sur le visage de Bo, continuant de serrer, bien que plus doucement, entre ces doigts, la petite voiture encore caché dans la poche de sa doudoune.
- Il est tard... et je ne sais pas du tout où je suis. Je me suis perdu, il faut le faire, non ?
Et, cette fois, c'était la vérité. Il plongea un petit instant son regard dans le sien, se souvenant des moindre détails de leur rencontre. Quand Bo avait osé crier de faire attention, de reculer, quand il avait obéit et avait évité de justesse cette voiture qui s'était diriger droit sur lui sans que le chauffeur ne fasse attention. Quand à son tour il avait obligé Bo à rester sur ce trottoirs à cause du camion qu'il avait vu arriver du virage malgré le feu rouge interdisant le passage. Deux drôles de rencontre ou l'un et l'autre s'était sauvé la vie. Drôle de suite quand on sait que, pour le remercier, Su déposait tout les mardis du premier mois, une petite voiture, de différentes couleurs et différent forma, sur la trace du passage du blond. Un rituel en sachant que leur rencontre avait toujours été un premier mercredi de chaque mois. Nous sommes quel jours aujourd'hui ? Mercredi vu l'heure tardive. Okay, il avait raté le mardi. Il avait oublié de déposer cette voiture, et il fallait le faire s'il ne voulait pas perdre une miette de son rituel. Mais là, en présence même de Bo, il lui était impossible de le faire. La petite voiture dans sa main caché le prouvait bien. Il en était même nerveux, incapable de tenir en place. Il se décolla du mur, contournant Bo pour cesser d'être près de cette poubelle, c'est que ça ne sent jamais bon ces choses là, surtout dans les métro ou les gens y verse diverses choses peu ragoutante. Ce qui lui permettait, également, ne pas attirer l'attention de Bo sur sa main continuellement en mouvement dans sa poche, faisant passer la petite voiture entre ces doigts, la prenant et la relâchant, la serrant à s'en faire mal, la relâcher pour mieux la reprendre. C'était indéniable, il fallait qu'il fuis, maintenant et revienne dans quelques heures pour déposer, à cette endroit même, la petite voiture. |
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C’est avec joie et fierté que je vous annonce le début de cette nouvelle année. Paix, bonheur, amour, argent et tout le blabla habituel qui se dit chaque année, mais surtout de l’action. Parce que franchement chers élèves, vous me décevez, je n’ai pratiquement rien eu de croquant à me mettre sous la dent pour me délecter des nouveaux arrivants dans notre institut. J’ai dut me tromper quelque part puisque, vous n’êtes pas aussi intéressants que je l’aurais cru. Non en fait je mens, je sais parfaitement que vous êtes tous de vrai obsédés, des malfrats, des crétins bon à l’école, des fous, des hypocrites, des fêtards. Pourtant, dans tout ce que je viens de nommer, rien ne vient à mes oreilles. Je n’ai absolument aucun fait pour accentuer mes paroles. Pour le moment, vous restez que des égoïstes qui gardent bien cachés leurs petits problèmes d’étudiants hormonaux. Vous me décevez sincèrement et j’ai bien l’intention de remédier à tout ça. Oh ! Ne me demandez pas comment, vous verrez bien lorsque tout arrivera. Quoi qu’il en soit, je ne peux qu’affirmer que cette école partira du bon pied en ce qui concerne l’année 2010 ! Ou du mauvais pied… tout dépend de la façon dont on voit la chose… c'est-à-dire dans votre peau ou dans la mienne. Tant pis pour vous bande de cachotiers, vous l’avez bien cherché ! Bon, je dois vous laisser, j’ai quelques coups de fil à faire et vous m’ennuyez profondément. J’aimerais quand même prendre le temps de vous indiquer que depuis quelques jours, vous l’aurez sûrement remarqué, il y a beaucoup d’agitation autours de l’enceinte. Peut-être que vous étiez trop occupés à faire vos prudes avec mon magnifique cadeau de bracelet tendance noël 2009. Aucune reconnaissance pshht. Je n’ai eu aucun merci d’ailleurs ! Enfin quoi qu’il en soit de votre impolitesse, prenez garde à vos arrières, il semble qu’il y ait un homme dans la trentaine qui parcoure les couloirs. La sécurité à tenté de le chasser mais… j’en ai décidé autrement. Il est beaucoup trop louche pour ne pas le laisser en liberté avec vous tous ! …. Merci et … bonne année ! NAVIGATION T O P . F R I E N D S ; ♥ more | you? |